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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #Automobilia
En page 2 & 3 de l'Automobilia N° 33, Illustration due au graphisme aussi soigné que réaliste de Thierry Dubois. Cliquer pour la voir dans un plus grand format.

En page 2 & 3 de l'Automobilia N° 33, Illustration due au graphisme aussi soigné que réaliste de Thierry Dubois. Cliquer pour la voir dans un plus grand format.

Entrons dans l'image ...

Hiver 1953, il a neigé sur cette route du Massif Central, cela n'empêche pas cette Hotchkiss-Grégoire rouge,  immatriculée dans le Puy-de-Dôme, de filer bon train grâce à son excellente tenue de route. Innovante, bien construite, cossue, confortable et suffisamment puissante, elle coûte, hélas, trois fois le prix (2 millions de Francs de l'époque) de celle qu'elle va croiser pourtant récente elle aussi.  Les anciens l'auront reconnue, il s'agit de la Simca Aronde verte, un modèle de 1952, immatriculée dans le Cantal ; cette version luxe, reconnaissable au dessin en "podium" de sa calandre chromée est le seul modèle produit à cette époque aux usines de Nanterre.  En mai 1951, L'Aronde a succédé à la Simca 8 équipée d'un moteur Fiat. Elle est la première voiture française à adopter  la carrosserie  dite "ponton" (3 volumes liés, fusionnant dans le dessin de la caisse : compartiment moteur, habitacle, coffre arrière) Ce dessin se retrouve dans celui de la barre chromée de la calandre des premiers modèles 1951-52. A noter que différemment, la Hotchkiss-Grégoire dispose, elle, d'une carrosserie  dite "fast-back" dont l'arrière s'inclinant dans le prolongement de l'habitacle est fuyant, ne comportant pas de coffre saillant. 

Suivant l'Aronde, on aperçoit un car Renault 215D, modèle sorti après la guerre qui, à ce début des années 50, est, pour une majorité de personnes, l'unique moyen de transport, pour se déplacer. Avoir une voiture particulière est encore un luxe réservé à une minorité de privilégiés.  C'est à partir du milieu des années 50 que l'automobile va se démocratiser grâce à la production de petites voitures économiques à l'usage et d'un coût d'achat abordable comme la très populaire 4CV de ce même constructeur.

Dans ces années là la publicité en bordure de route utilise tous les pans de mur disponibles. A droite, sur la gravure, celle peinture en pignon nous présente une marque bien connue d'une eau  gazeuse régionale, certainement bien plus recommandable aux conducteurs de passage que les affiches du même type louant les vertus de certaines marques d'apéritif de renom, elles soumises en bien plus grand nombre à la vue des automobilistes.

Entre ces pages 2 & 3 et la couverture ci-dessous, c'est le grand écart des ambiances saisonnières... nous faisant passer, au tournant, de l'Hiver à l’Été... 

Couverture d'Automobilia N° 33 //  Au Sommaire...
Couverture d'Automobilia N° 33 //  Au Sommaire...

Couverture d'Automobilia N° 33 // Au Sommaire...

Je retiens la monographie de la Hotchkiss-Grégoire du début des années 50, le dossier sur les cabriolets  DS de Chapron, la planche  présentant l'évolution des Vedettes Ford de 1948 à 1952, et pour rester dans l'ambiance du moment où l'on commence à faire ses achats en prévision des fêtes de fin d'année, la présentation de cette auto à pédales, nommée *Citroënnette* réplique de la Citroën HP 5 des années 20, que le Père Noël aura bien du mal à loger dans sa hotte.

La Hotchkiss-Grégoire 1951-1954

Photographiée au Bois de Boulogne en été 1951, cette Hotchkiss-Grégoire de couleur rouge-armagnac est un des tous premiers exemplaires produits // Au cours du même été, Jean-Albert Grégoire pose fièrement  au côté d'une des premières H.G. de sa création // Le 15 août 1952, Mme Pageot remporte le grand prix d'excellence du concours d'élégance  de la Baule en présentant sa Hotchkiss-Grégoire.  Photographiée au Bois de Boulogne en été 1951, cette Hotchkiss-Grégoire de couleur rouge-armagnac est un des tous premiers exemplaires produits // Au cours du même été, Jean-Albert Grégoire pose fièrement  au côté d'une des premières H.G. de sa création // Le 15 août 1952, Mme Pageot remporte le grand prix d'excellence du concours d'élégance  de la Baule en présentant sa Hotchkiss-Grégoire.  Photographiée au Bois de Boulogne en été 1951, cette Hotchkiss-Grégoire de couleur rouge-armagnac est un des tous premiers exemplaires produits // Au cours du même été, Jean-Albert Grégoire pose fièrement  au côté d'une des premières H.G. de sa création // Le 15 août 1952, Mme Pageot remporte le grand prix d'excellence du concours d'élégance  de la Baule en présentant sa Hotchkiss-Grégoire.

Photographiée au Bois de Boulogne en été 1951, cette Hotchkiss-Grégoire de couleur rouge-armagnac est un des tous premiers exemplaires produits // Au cours du même été, Jean-Albert Grégoire pose fièrement au côté d'une des premières H.G. de sa création // Le 15 août 1952, Mme Pageot remporte le grand prix d'excellence du concours d'élégance de la Baule en présentant sa Hotchkiss-Grégoire.

Le 29 juin 1949, la signature du contrat liant désormais la société industrielle Hotchkiss et l'ingénieur Jean-Albert Grégoire constitue l'acte de naissance officiel de la Hotchkiss-Grégoire. Bien des espoirs reposent sur cette association pour la firme de Saint-Denis qui subit le marasme de l'après guerre où l'automobile ne constitue pas une priorité politico-économique dans la France en reconstruction. On achète peu de voitures neuves et le commerce des productions de cette branche industrielle à part, s'effectue surtout à partir des véhicules d’occasion. Pourtant l'automobile intéresse un public de plus en plus large et pas seulement les classes élitistes. les constructeurs planchent sur des productions d'automobiles à coût réduit pouvant la rendre accessible à la classe prolétaire comme la 4CV Renault présentée au salon de l'Automobile en Octobre 1946.

Hotchikss constructeur sérieux sans s'assimiler au grand luxe automobile a, jusqu'alors, produit des modèles de voitures s'adressant à une classe bourgeoise, se démarquant des constructeurs lambda axés sur les modèles plus populaires coûtant de deux à trois fois moins chers à l'achat.

*La vérité technique est toujours belle*

Jean-Albert Grégoire

Dotée des plus récents éléments mécaniques fruits des progrès techniques du moment, la Hotchkiss-Grégoire est particulièrement innovante.

Dotée des plus récents éléments mécaniques fruits des progrès techniques du moment, la Hotchkiss-Grégoire est particulièrement innovante.

Carrosserie en aluminium, moteur 4 cylindre à plats en alpax de 2,2 litres  développant 65 ch, capable d'atteindre 145 km/h en vitesse de pointe, ne consommant pas plus de 9 litres d'essence à 75 km/h de moyenne, et dotée d'un intérieur cossu, à ce début des années 50, on peut se demander si la production d'une telle voiture techniquement en avance sur son temps, est opportune. Le directoire commercial sous la Férule de J.A. Grégoire plus que celui des dirigeants de l'usine, y croient...   Sur le papier l'auto est une réussite, hélas, sur le terrain de la mise en œuvre, on se heurte à de nombreuses difficultés... l'arsenal autant que l'outil de fabrication de l'usine de Saint-Denis sont devenus obsolètes. Il faut réinvestir à hauteur de plusieurs centaines de millions de francs de l'époque pour l'équiper en machines outils et emboutisseuses modernes. En attendant la mise de fond par prêts bancaires et du soutien financier des actionnaires, dans un premier temps, les pièces techniques, châssis et éléments de carrosseries du nouveau modèle se réalisent sur des sites différents parfois très éloignés retardant le montage dans l'usine mère... S'ajoutent des imperfections  touchant les assemblages. Tout ceci  va impacter la commercialisation qui ne se fera qu'en milieu d'année 1951. On a perdu beaucoup de temps pour calculer le prix de revient de chaque exemplaire qui, suite à tous ces atermoiements, se révèle  bien plus élevé que celui qui avait été planifié. En conséquence La Hotchkiss-Grégoire  va être vendu au prix de 1 200 000 F. Suivant l'inflation qui sévit fortement à cette période, 3 ans plus tard, les modèles 1954 dépasseront les 2 millions de Francs, alors que, dans le même temps, chaque exemplaire produit coûte 250 000 F de plus au constructeur. Un écueil financier qui, le 13 novembre 1954, va mettre un terme à la carrière de cette fabuleuse Hotchkiss-Gégoire dont seulement 247 exemplaires ont été fabriquées.

*La vérité technique est toujours belle*... mais certainement pas accessible à tous quand elle se fait plus onéreuse que généreuse.

Reprise de citation par Farfadet 86

Les Cabriolets DS Chapron...

M. Henri Chapron pose fièrement  devant une de ses DS 19 exposées au Salon de Paris 1960. // L'ultime version du cabriolet Le Caddy // Quel que soit l'angle sous lequel il se présente, le cabriolet DS Chapron ne manque pas d'élégance // Planche des évolutions techniques des DS cabriolet produites de 1960 à 1972.
M. Henri Chapron pose fièrement  devant une de ses DS 19 exposées au Salon de Paris 1960. // L'ultime version du cabriolet Le Caddy // Quel que soit l'angle sous lequel il se présente, le cabriolet DS Chapron ne manque pas d'élégance // Planche des évolutions techniques des DS cabriolet produites de 1960 à 1972.
M. Henri Chapron pose fièrement  devant une de ses DS 19 exposées au Salon de Paris 1960. // L'ultime version du cabriolet Le Caddy // Quel que soit l'angle sous lequel il se présente, le cabriolet DS Chapron ne manque pas d'élégance // Planche des évolutions techniques des DS cabriolet produites de 1960 à 1972.
M. Henri Chapron pose fièrement  devant une de ses DS 19 exposées au Salon de Paris 1960. // L'ultime version du cabriolet Le Caddy // Quel que soit l'angle sous lequel il se présente, le cabriolet DS Chapron ne manque pas d'élégance // Planche des évolutions techniques des DS cabriolet produites de 1960 à 1972.

M. Henri Chapron pose fièrement devant une de ses DS 19 exposées au Salon de Paris 1960. // L'ultime version du cabriolet Le Caddy // Quel que soit l'angle sous lequel il se présente, le cabriolet DS Chapron ne manque pas d'élégance // Planche des évolutions techniques des DS cabriolet produites de 1960 à 1972.

En matière d’innovation de style et de technologie en avance sur son temps, ce que la Hotchkiss-Grégoire n'a pu commercialement réussir, c'est un an après sa disparition, la sortie en 1955 de la DS de Citroën qui a d'abord étonné les foules puis séduit, d'année en année un clientèle progressivement conquise par cette futuriste auto disposant d'un joli panel de technologie embarquée.

Dans ce N° 33 d'Automobilia, ce sont les cabriolets DS carrossés par Chapron le seul grand couturier automobile d'avant guerre encore en activité. Un vaste dossier des pages 19 à 32,  en présente les innombrables variantes et évolutions. La DS pour rouler cheveux au vent allie le charme à la modernité... Le plaisir est immense... Des trois versions produites de 1960 à 1972, les prix ont varié suivant les finitions et les motorisations, de 21 300 F à 42 360 F.

Nous n'avons pas fini de jouer les Vedettes !...

Elle aussi, une star des années 50...

Elle aussi, une star des années 50...

Et, dès 5 ans, rouler en HP 5 !

Après la première guerre mondiale, au moment où l'industrie automobile reprend son essor, une petite voiture à pédale pour enfant, va connaître parallèlement à ses grandes soeurs, un succès considérable. Paulin Ratier l'inventeur de l'hélice à pas variable voit ses activités industrielles réduites à néant à la fin de la guerre. Il adopte alors ce type de propulsion aux premières voitures qu'l fabrique, Une vingtaine au total. Le succès ne sera pas au rendez-vous. C'est alors qu'il entreprend la reconversion de son usine de Montrouge pour fabriquer des voitures jouets à pédales doté d'un pédalier du type "va et vient" et d'un éclairage électrique à piles pour les phares. Reproduction en taille réduite de la populaire HP 5 de Citroën, ces autos pour enfants connaîtront vite un franc succès. 

Pa besoin de voir grand quand à l'échelle des petits, on connait d'emblée le succès... Voilà une petite demoiselle à l'air bien décidé, pour se lancer, suffisemment "chevronnée" sur les merveilleux chemins de l'enfance ...

Pa besoin de voir grand quand à l'échelle des petits, on connait d'emblée le succès... Voilà une petite demoiselle à l'air bien décidé, pour se lancer, suffisemment "chevronnée" sur les merveilleux chemins de l'enfance ...

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F
Bien que j'aime beaucoup rouler, tout ce qui est mécanique, à part l'utilisation, malheureusement, m'a désintéressé. Je ne suis d'aucune manière manuel, nul de chez nul. Je n'en ai pas de complexes pour autant, parce qu'il faut de tout pour faire un monde et j'ai d'autres dons, mais je déplore quand même ce manque d'intérêt qui m'a souvent désavantagé. Ce qui m'intéressait dans ma tendre enfance, c'était la vie des abeilles. J'aurais voulu être apiculteur et j'accompagnais mon propriétaire qui avait des ruches lorsqu'il s'occupait de ses insectes et m'instruisait. Nous n'avions pas de filets protecteurs. Il sortait de la ruche la cire installée dans un cadre de bois, pleine d'abeilles, et de miel et les abeilles se laissaient faire sans nous piquer. J'étais à côté de lui. Il m'est arrivé à 5 ou 6 reprises d'être piqué par une abeille, malencontreusement, pour différentes raisons, mais je me suis passionné pour ces colonies dans lesquels un ordre parfait était installé.
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F
Bonsoir Francis.<br /> <br /> Certes, nous avions des rêves d'enfant et des intérêts très différents. Tu te passionnais pour le monde des insectes alors que, bourdonnant d'une autre façon, en faisant vroum vroum, je poussais mes petites autos sur des routes imaginaires... toi te voyais sans doute futur homme ruche et moi futur homme riche pour m'acheter une belle voiture... (wink)<br /> Et puis plus suave est le miel qui coule dans sa gorge qu'une bielle coulée dans son moteur...lol<br /> <br /> J'arrête là mes comparaisons oiseuses de farfadet rigolard pour te dire que ta curiosité pour le monde des abeilles t'a certainement conduit à t'intéresser à bien des sujets de connaissances variés et enrichissants culturellement et socialement. L'univers des abeilles est très organisé . <br /> <br /> En d'autres circonstances, J'ai déjà dû te conseiller cette lecture : "L'apiculteur et son élève" de Sara Georges présenté sur mon blog :<br /> <br /> https://www.mirebalais.net/2020/02/j-ai-lu-l-apiculteur-et-son-eleve-de-sara-george.html.<br /> <br /> Au carrefour de nos passions ici, nous nous retrouvons...<br /> <br /> Amitiés
F
On voit que as une sorte de passion, entre autres ( parce que tu es un passionné de tant de choses). On voit que tu as la passion des voitures et que tu es un très bon enseignant pour parfaire notre instruction. Merci. Bonne journée à toi et mes amitiés
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F
Bonjour FRancis.<br /> Déjà très jeune enfant, tout juste débarrassé des couches je manifestais vivement mon intérêt pour tout ce qui roule pour ce qui est : "auto...mobile"... C'était à un tel point que, pour me faire manger ma bouillie, moi le bambin bien calé dans ma chaise haute, mes parents vivement sollicités devaient me dessiner une auto ou en découper dans des journaux et revues afin que je daigne prendre le contenu de la cuillère que l'on me présentait ... Chantage bien puéril révélateur d'une passion naissante... Ce n'était qu'un début.... Mes jouets préférés étaient les petites voitures et, la récompense ultime quand les résultats scolaires étaient bons, c'était de m'offrir une nouvelle petite voiture ( à l'époque en fer blanc) pour ajouter à ma collection... Je passe sur cette vilaine habitude qui me faisait dessiner des planches avec vues sur plusieurs plans comportant aussi des "écorchés techniques" de voitures de rêve imaginées, ceci pendant les fastidieux cours de math en seconde .... Bref, ça m'a suivi jusqu'à la maturité
.
Je ne sais pas si nous reverrons, un jour, l'atmosphère de ce temps de la création, de l'amour du travail bien fait, et, en retour, une belle satisfaction faite de joie. Bonne nuit les Farfadets, faites de beaux rêves, 😘😘
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F
Bonjour Marie-Rose.<br /> Faisant référence à nos générations celles de l'entre deux guerres et celle juste après comprenant les années 20 à 60 , il y eut certes de la joie de vivre mais aussi des crises politiques, économiques et sociales... <br /> Créations mais aussi rebellions contre les inégalités, les abus du libéralisme.<br /> L'auto représente là le clivage entre accès à plus de liberté répondant aux besoins d'évasions de chacun et impératifs du travail où la production doit se conformer le plus possible aux critères de qualité de fabrication et d'esthétisme.<br /> Après les années 60, il faut aussi répondre aux exigences tenant à l'accroissement des besoins... Il faut toujours plus produire car les consommateurs sont toujours plus nombreux...<br /> Cela pouvait alors s'effectuer au détriment de la qualité...<br /> <br /> Aujourd'hui, nous sommes entrés dans l'ère de la surproduction qui se trouve en inadéquation avec les besoins des pays les plus pauvres lesquels ne peuvent ni produire ni consommer, faute de moyens financiers et d'infrastructures adéquates, étant en même temps soumis à l'alternance entre dirigeants politiques corrompus et juntes militaires dévoyées...<br /> Et voilà que cette tant désirée et chérie automobile est aujourd'hui déclarée polluante... La fée électrique y va de sa baguette magique et, dans la foulée, on va produire des quantités monstrueuses de batteries, elles, polluantes à fabriquer et pour l'instant, non recyclables...<br /> <br /> L’erreur que l'on dit humaine, de pas en pas , hélas, se fait toujours plus grosse et lourde de conséquences que l'on ne sait ni endiguer ni réparer...<br /> "Après nous, le déluge !..." . IL faut impérativement changer cette mentalité dans les esprits de chacun... et ceux de nos dirigeants... <br /> Et ça "toussote" pas mal à la COP 29 en Azerbaïdjan... <br /> <br /> Tiens voilà le soleil !... Ses rayons sont pour l'instant bien plus appréciés que ceux des luxueuses roues de la DS cabriolet de M. Chapron...<br /> <br /> Bisous des Farfadets du Poitou.
M
libre comme l'air 😃
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F
Bonsoir Marie-Rose.<br /> Certainement... cette petite demoiselle au volant de sa Citroënnette HP5 est déjà dans le vent à ce début des années 20... comme sur l'image de la couverture, ce couple, 40 ans plus tard, au volant de leur cabriolet DS 19 filent , cheveux au vent, sur une route en corniche bordant la Riviera ...<br /> Bisous des Farfadets amoureux des cabriolets d'antan...

Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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