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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #D'Hier - d'Ici et d'Ailleurs ...

Plutôt que d'y entrer, dès lors à la périphérie, nous en ferons le tour, faisant la ronde autour de l'Aronde...

1951 sortie de l'Aronde... celle-ci au 1/43e, de chez Dinky Toys, j'ai pas mal joué avec // nous venions d'arriver à Lesparre où nous demeurerons jusqu’en Été 1954...1951 sortie de l'Aronde... celle-ci au 1/43e, de chez Dinky Toys, j'ai pas mal joué avec // nous venions d'arriver à Lesparre où nous demeurerons jusqu’en Été 1954...

1951 sortie de l'Aronde... celle-ci au 1/43e, de chez Dinky Toys, j'ai pas mal joué avec // nous venions d'arriver à Lesparre où nous demeurerons jusqu’en Été 1954...

A ce début des années 50, gamin de 7 ans, avec mes parents, venant de la région parisienne,  je découvre Lesparre-Médoc  sous-préfecture au nord de la Gironde, localité d'environ 6000 habitants.

Mes parents ayant vendu le pavillon que nous habitions à Vanves, ont acheté un garage de réparation et entretien de véhicules, faisant aussi office de station service pour le ravitaillement en carburant. Mon père y fera aussi la vente de voitures d'occasion ce qui, à cette époque, 6 ans après la fin de la deuxième grande guerre, répond aux besoins de nombreux usagers désireux d'acquérir une auto à prix raisonnable, indispensable pour travailler. Beaucoup sont des commerçants. Les modèles neufs sont chers ; le plus souvent il faut attendre plusieurs mois, quand ce n'est pas une à deux années, pour obtenir le véhicule neuf commandé. L'occasion est une aubaine pour ceux qui sont pressés et ne veulent pas investir toutes leurs économies dans l'achat d'une voiture.

Le Cours Duperrier-de-Larsan (Deux premières photos sur cartes-postales anciennes) est rebaptisé après guerre : Cours Général de Gaulle. N'ayant aucune photo du garage à l'époque où nous y habitions, au 45, j'ai mis celle prise en 1998, lors d'un voyage express. Le garage est devenu "Agence Fiat" et une récente photo, via "Google Earth", du même lieu aujourd'hui, qui nous montre un cabinet d'assurance.Le Cours Duperrier-de-Larsan (Deux premières photos sur cartes-postales anciennes) est rebaptisé après guerre : Cours Général de Gaulle. N'ayant aucune photo du garage à l'époque où nous y habitions, au 45, j'ai mis celle prise en 1998, lors d'un voyage express. Le garage est devenu "Agence Fiat" et une récente photo, via "Google Earth", du même lieu aujourd'hui, qui nous montre un cabinet d'assurance.
Le Cours Duperrier-de-Larsan (Deux premières photos sur cartes-postales anciennes) est rebaptisé après guerre : Cours Général de Gaulle. N'ayant aucune photo du garage à l'époque où nous y habitions, au 45, j'ai mis celle prise en 1998, lors d'un voyage express. Le garage est devenu "Agence Fiat" et une récente photo, via "Google Earth", du même lieu aujourd'hui, qui nous montre un cabinet d'assurance.Le Cours Duperrier-de-Larsan (Deux premières photos sur cartes-postales anciennes) est rebaptisé après guerre : Cours Général de Gaulle. N'ayant aucune photo du garage à l'époque où nous y habitions, au 45, j'ai mis celle prise en 1998, lors d'un voyage express. Le garage est devenu "Agence Fiat" et une récente photo, via "Google Earth", du même lieu aujourd'hui, qui nous montre un cabinet d'assurance.

Le Cours Duperrier-de-Larsan (Deux premières photos sur cartes-postales anciennes) est rebaptisé après guerre : Cours Général de Gaulle. N'ayant aucune photo du garage à l'époque où nous y habitions, au 45, j'ai mis celle prise en 1998, lors d'un voyage express. Le garage est devenu "Agence Fiat" et une récente photo, via "Google Earth", du même lieu aujourd'hui, qui nous montre un cabinet d'assurance.

Vous dire si j'en ai vu de la guimbarde, des années 20 à 40, dans le garage du papa. Elles n'ont fait que raviver ma passion des autos... Mais Lesparre, c'est aussi un amalgame de souvenirs d'enfance des plus cocasses de mes 7 à 10 ans. C'est parti !... Je vous raconte ça illico, comme ça me revient...

La Simca 8 sport dans tous ses états...La Simca 8 sport dans tous ses états...

La Simca 8 sport dans tous ses états...

D'abord, ce cendrier publicitaire représentant une Simca 8 sport de 1950, un modèle qui fait le pont entre la 8 et la 9 que l'on nommera "Aronde". Ce cendrier trônait sur une petite table de notre salon à l'étage au-dessus du garage. Mes parents fumaient à l'époque. Je n'avais pas le droit de jouer avec... alors, j'ai fait la comédie pour que l'on m'achète son homologue de chez Dinky. Mes parents n'ont pas cédé. C'est quelques mois plus tard, qu'avec mes petites économies, j'ai pu m'acheter "l'Aronde" miniature au 1/43e. Finalement, ce cendrier a survécu, toutes ces décennies après,  puisque je le possède encore aujourd'hui...

Mon cyclorameur bleu ressemblait beaucoup à celui-ci // Six années plus tard, l'incisive n'a toujours pas repoussé...Mon cyclorameur bleu ressemblait beaucoup à celui-ci // Six années plus tard, l'incisive n'a toujours pas repoussé...

Mon cyclorameur bleu ressemblait beaucoup à celui-ci // Six années plus tard, l'incisive n'a toujours pas repoussé...

Ô dent qu'emporte le temps !...

Avec le fils Besson de la blanchisserie voisine, un gaillard de 12 ans, nous jouons sur le grand trottoir Cours De Gaulle. Lui, sur son vélo, appuie fort sur les pédales pour avancer car nous avons attaché mon cyclorameur à sa bicyclette. Ça y est !... on prend de la vitesse... sur le rameur, je jubile. Bing ! Crac !... je viens de faire une embardée la roue avant du cyclo a heurté un pavé  saillant, c'est la culbute avec une arrivée fracassante sur la chaussée où je m'étale, ma figure ayant encaissé le coup en premier. J'ai la bouche en sang et "une dent au père Lachaise" comme le chantera Pierre Perret quelques années plus tard...  Je braille tellement que ma mère arrive à la rescousse et hurle à son tour. C'est l'émoi aux abords du garage.  Mon père surgit, on me relève, en larmes et pantelant. Engueulade à la ronde, (constatez ici que, l'Aronde est bien au cœur de cette histoire...) le fils Besson, retourne chez lui bien penaud. Tout ça se termine chez le dentiste, le Dr Chasseigne  et pour moi ça saigne vilain... une chance (tu parles !), il habite juste à côté de chez nous. L'incisive gauche est sectionnée à ras la gencive. "ça repoussera en partie" a-t-il dit à mes parents Inquiets. il faudra patienter longtemps avant d'intervenir. En fait, c'est bien des années plus tard, que mon dentiste du moment a posé une "jaquette"...  Mon sourire d'enfant puis d'ado en a pris un sérieux coup !...

Un compteur pour vélo (celui que j'avais, était plus archaïque encore) // Une Ford "Abeille" Un compteur pour vélo (celui que j'avais, était plus archaïque encore) // Une Ford "Abeille"

Un compteur pour vélo (celui que j'avais, était plus archaïque encore) // Une Ford "Abeille"

J'ai embrassé le cul d'une abeille !...

Michel, le jeune apprenti mécanicien qu'a embauché mon père que je viens de tanner pour qu'il fixe sur la fourche de mon petit vélo, un compteur de vitesse pour bicyclette, trouvé dans le bric-à-brac de "Meriadeck" (Nom d'un quartier bordelais de réputation sulfureuse à cette époque, donné par mon père  à l'entrepôt de stockage de pièces détachées, sis,au fond du jardin) se soumet, le pauvre, à mon caprice et une demi-heure plus tard, me voici sur le Cours de Gaulle pédalant à toute berzingue en fixant du regard l'aiguille du petit compteur qui tressaute sur le cadran. Pas le temps de savoir quelle vitesse j'ai atteint... sans regarder devant soi... on ne peut éviter les obstacles qui se présentent... et celui là est énorme. C'est dans la hayon d'une Ford "Abeille" que s'arrête ma course... Je suis sonné mais je m'en sors sans trop de bobos, sinon quelques ecchymoses, toutefois, la jante avant de mon biclou est bien voilée...  ça me vaut  une belle engueulade et la privation de bicyclette, me rabroue le paternel, avant de filer dare-dare dans ma chambre... dard dard devrai-je dire, suite à cette rencontre impromptue avec "l'Abeille"...

Sur cette carte postale ancienne on voit, à droite, le bazar où j'ai acheté le même modèle exactement de camion de pompiers, à droite, produit par "Vébé" : camion Studebaker des Pompiers de Paris, en tôle, échelle double pivotante, L. 39 cm. Il disposait de phares avec petites ampoules éclairant grâce à une pile électrique  placée sous le châssis.Sur cette carte postale ancienne on voit, à droite, le bazar où j'ai acheté le même modèle exactement de camion de pompiers, à droite, produit par "Vébé" : camion Studebaker des Pompiers de Paris, en tôle, échelle double pivotante, L. 39 cm. Il disposait de phares avec petites ampoules éclairant grâce à une pile électrique  placée sous le châssis.

Sur cette carte postale ancienne on voit, à droite, le bazar où j'ai acheté le même modèle exactement de camion de pompiers, à droite, produit par "Vébé" : camion Studebaker des Pompiers de Paris, en tôle, échelle double pivotante, L. 39 cm. Il disposait de phares avec petites ampoules éclairant grâce à une pile électrique placée sous le châssis.

Le Chanoine de Saint-Trelody ne croît pas au père Noël ....

Voilà ce qu'il nous a confié à la messe du dimanche en l'église Saint-Trelody, lors de son sermon pour nous préparer à fêter Noël... tu parles d'une bombe dans la crédulité d'un gamin de 7 ans qui, lui, croît encore dur comme fer, à ce Papa charitable, pourvoyeur de jouets qu'un petit Jésus, si adorable soit-il dans sa crèche, ne pourra jamais remplacer pour effectuer la distribution de joujoux à déposer au pied du traditionnel sapin, la nuit de Noël. Quand je rapporte cette terrible nouvelle à mes parents, ils semblent horrifiés... Mais le doute s'est installé dans ma conscience... et puis, d'autres petits camarades à l'école, m'ont assuré que le père Noël  n'existe pas, que ce sont les parents qui déposent les cadeaux au pied du sapin. Ma mère me dit alors :  Eh oui Patrice, le père Noël c'est pour les petits enfants, plus jeune que toi... " Je lui coupe la parole, inquiet... "oui mais alors, pour cette fin d'année encore, on va faire semblant d'y croire..." Mes parents partirent d'un grand éclat de rire...

A ce Noël "51" j'eus bien le château fort commandé dans ma lettre adressée au Père Noël avec, en sus, la boîte N°5 du Meccano, célèbre jeux de construction mécanique avec lequel j'ai joué, au moins, jusqu'à mes 12 ans...... 

L'année suivante, avec les sous venant de ma grand-mère et le consentement de mes parents, c'est moi-même qui me suis acheté, le camion de pompier que j'admirais dans la vitrine du bazar, place Gambetta au coin de la rue Jean-Jacques Rousseau.

Lesparre la Tour carrée // le Farfadet en bicyclette en été 1954...Lesparre la Tour carrée // le Farfadet en bicyclette en été 1954...

Lesparre la Tour carrée // le Farfadet en bicyclette en été 1954...

Les filles n'ont pas de zizi...

Ma candeur de galopin naïf allait encore être bousculée, au cours d'une de mes nombreuses randonnées à bicyclette aux environs du bourg...

Me voici place Gambetta, je tourne à droite Rue Pierre Curie et file jusqu'à un petit chemin qui mène à la tour carrée dite de l'honneur. Là, débouchant d'une courbe, une bande de gamins de mon âge et des plus jeunes sont assis en rond au milieu du chemin. Certains sont nus...

"Ey gadjo, file d'ici, on est chez-nous là ! m'invective celui qui doit être leur petit chef... -" Ce chemin est un lieu de passage pour tout le monde leur rétorque-je. ayant mis pied à terre... - File gadjo ! t'as rien à faire ici, ce chemin est à nous, file vite ! L'un d'eux, me jette des petits cailloux qu'il a ramassés sur le chemin, une fillette s'étant levée, l'imite aussitôt... elle est toute nue... je suis sidéré en découvrant qu'elle n'a pas de "petit oiseau" comme nous mais, à la place, une petite fente à la base du pubis... pas le temps de m'étendre sur cette découverte (dans tous les sens du terme "découverte"...), l'ensemble des 8 gamins gamines qui barrent le passage, se sont mis à me caillasser... j’enfourche vite fait ma bicyclette, et rebrousse chemin en pédalant vivement.

De retour à la maison, bien essoufflé, je fais le récit de cette rencontre inattendue à ma mère qui m'explique que ces enfants sont certainement des petits romanichelles lesquels vivent avec leurs parents dans des roulottes (qu'on appelle "verdine" ; à cette époque, nombreuses sont encore celles tirées par des chevaux). On les appelle aussi bohémiens ou gitans, car ils se déplacent de village en village au gré de leurs envies. Je fais ensuite part de mon étonnement ayant aperçu que les petites filles nues n'avaient pas de zizi... Ma mère d'abord embarrassée, me fait cette réponse surprenante : Ce que les garçons ont bien en évidence à l'extérieur, les filles, elles, le possèdent de façon intime, à l’intérieur.

J'aurai encore beaucoup à apprendre sur les filles qui, à cet instant, me paraissent un bien grand mystère...

à suivre : 

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Lecture qui remonte le temps où les enfants espiègles ont eu leur place …..nous étions heureux de nos petits tours …qui paraissent bien sages par rapport à aujourd’hui…
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F
Bonjour Christiane.<br /> <br /> L’espièglerie serait presque un art quand elle permet aux grands de rire ou sourire des petites bêtises non dépourvues d'imagination et de malices créatives de leurs progénitures en passe aux jeux pas toujours permis mais qui font aussi apprendre et finalement avancer dans la vie ..."La guerre des boutons" version film, en est un parfait exemple...<br /> <br /> Aujourd'hui, l'enfance a à disposition tant de moyens pour jouer et "se jouer" des règles qu’on redoute, en plus des conséquences qui peuvent être désastreuses, un déficit de l'imagination alliée à la fraîcheur enfantine. Il faudrait déjà que les parents ne soient pas pressés de voir grandir leurs enfants, s'affranchissant de tout ce que monde moderne propose d'illusoire et fascinant, nuisant à l'effort d'apprendre pour, le moment venu, trouver et prendre sa place dans l'existence.<br /> <br /> Savoir rencontrer et profiter de ce qui est REELLEMENT épanouissant.<br /> <br /> Amitiés des Farfadets du Poitou.
F
Tu ne sembles pas avoir été vraiment un enfant sage du genre de la comtesse de Ségur. Les 400 coups ont du être dépassés
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F
Oh oui j'en ai fait des bêtises ... hélas, je n'en n'ai pas tenu le registre... Serait-ce alors exemplaire ? Déjà, celles évoquées dans ce billet et autres articles auto-biographiques du même genre, pourraient m'être reprochées n'étant pas significatives d'une conduite raisonnable, en ne faisant nullement l'éloge de la sagesse mais invitant à la pitrerie... <br /> Moi je dis que les clowns au-delà de leurs énormes farces et incongrues facéties sont aussi et avnt tut des poètes qui ont su conserver leur âme d'enfant.<br /> Amitiés. .
M
De bien jolis souvenirs d'enfance. Tu te les rappelles de manière fort précise je trouve. C'est super et je t'avoue que j'aime beaucoup la réponse de ta maman qui déjà pour l'époque était très ouverte d'esprit puisqu'elle a su te dire non pas que les filles "n'avaient pas" mais qu'elles "avaient" elles aussi quelque chose de caché certes mais d'existant. Même si tu ne savais pas tout tu as bâti ton imaginaire sur non pas un manque mais un trésor à découvrir et je trouve que c'est une vision très féministe pour l'époque. Très belle journée et amitiés à tous les deux
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F
Bonjour Manou.<br /> <br /> C'est une époque de mon enfance qui fut riche autant en émotions qu'en découvertes, entraînant moult questions. Mais, à cet âge là, l'action reprenant vite le dessus, on ne prend pas le temps d'épiloguer et d'enregistrer les réponses à nos actes et à nos interrogations. La curiosité n'en n'est pas pour autant écartée... Les questions restent en suspens... On y revient parfois par des chemins détournés.<br /> <br /> Ma mère a toujours été attentive à mon évolution, entourant mon enfance d'affection mais aussi d'inquiétude dans mes années collèges et lycée. Il est dommage qu'elle soit parti si tôt <br /> <br /> A Lesparre, ce sont les années "bonheur", même si pour mes parents las aléas tenant à leur activité du moment ne sont pas sans leur occasionner des soucis.<br /> J'évoquerai cela dans les articles à suivre sur notre vécu dans cette localité du Médoc..<br /> <br /> Amitiés des farfadets du Poitou.
C
de bons et de moins bons souvenirs d'enfance ... notre insouciance n'avait d'égale que notre naïveté !<br /> amitié .
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F
Bonjour Marie-Claude.<br /> <br /> C'est bien cela... Fraîcheur et candeur. Aux parents de ne pas priver leur progéniture de leur enfance. Celle-cie est un merveilleux passage obligé pour accéder à la vie sociale et active, pour devenir "grande personne" Exercer son autorité de parent sans maltraitance, éduquer est aussi un art ... <br /> https://www.mirebalais.net/2014/03/mais-laissez-leur-donc-leur-enfance-a-ces-enfants-la.html<br /> <br /> Amitiés.
D
que de jolis souvenirs !
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F
Bonjour Dominique<br /> Oui, jolis après coups ou gnons... plaies et bosses ne sont jamais agréables sur le moment surtout quand on est minot...mais bien sûr avec le temps de tels anecdotes peuvent faire sourire et même rire, et l'on se dit alors que c'était le bon temps... <br /> Amitiés.

Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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