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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #Auto Saga

 

File0615.jpgAvec elle, les superlatifs sont insuffisants… en matière automobile, elle fait partie du panthéon du genre. Germanique en diable, pure beauté du Walhalla, avec elle, vous allez chevaucher parmi les walkyries, à allure démentielle sur les voies sacrées bordées de champs élyséens plein d’étoiles …

Lyrisme dithyrambique … oui, elle le vaut bien !... Quand on découvre sa silhouette, on ne peut que tomber en extase et, quand on apprend que cette majesté automobile là, est née dans le presque immédiat après guerre, alors, on reste coi …

Aujourd’hui encore, l’heureux possesseur d’une telle voiture (ils sont rares) sait très bien qu’il possède un engin exceptionnel et, que là où il passe ou se gare, avec, les têtes se détournent, les regards s’écarquillent, les bouches s’arrondissent, les respirations se retiennent … Même au coté des plus beaux canons les plus récents du genre, elle se distingue par sa ligne élancée aux divines proportions de beauté sauvage sculptée en courbes parfaites … Regardez !... une voiture qui a des hanches... magnifique !...

File0614.jpgLongtemps ce modèle d’exception fit partie de mes rêves, représentant ce qu’il y avait de plus absolu en matière automobile… Idole, déesse contemporaine de cette autre DS, elle était le fleuron de la technologie la plus en pointe de l’époque rassemblant les solutions les plus avancées du moment. Si la robe est pure merveille, l’architecture et les constituants mécaniques de la belle sont plus qu’à la hauteur. Rien a été laissé de côté, question motorisation, liaisons au sol et aménagement. En son temps, cette 300 SL était un véritable condensé du savoir faire allemand en matière de voiture sportive de haut de gamme ……

Voilà pour la présentation, passons à l’histoire…
Le contexte économique à la fin des années quarante dans une Allemagne vaincue et surtout en grande partie détruite dans son arsenal industriel, n’est certes pas favorable pour relancer l’activité sidérurgique et, dépendante de celle-ci, la construction d’automobiles … Ainsi dans la paix rétablie, malgré les occupants bien installés en Germanie et les rigueurs du plan Marchal, ces contraintes n’empêchent pas le peuple allemand à reprendre goût à la vie, au travail et donc à la consommation … Tel le phénix, la machine industrielle allemande resurgit de ses cendres … Mercedes illustre parfaitement cet exemple car, à l’aube des années « 50 », ayant produit déjà à plusieurs milliers d’exemplaires la « 170 » d’avant guerre, met au point des mécaniques un ton nettement au dessus avec la série des « 300 », grosses 6 cylindres de 3 litres … l’artisan de cette renaissance se nomme Whilhelm Haspel. Il restera le grand patron du directoire de la "Mercedes Werke" jusqu’à sa mort en 1952.
Le sport automobile a repris également et la « formule1 » est, à ce moment, dans ses balbutiements (avant elle, se disputaient des « Grands Prix » locaux …) La firme de Stuttgart, avant guerre, auréolée par les victoires remportés dans bon nombre de ces grands prix internationaux avec ses « flèches d’argent », envisage sérieusement son proche retour à la compétition…
Les promoteurs en la matière sont, d’abord, les ingénieurs Rudolf Uhlenhaut et Fritz Nallinger qui ont mis au point le moteur et la plateforme technique des nouvelles séries de "300"… Ils sont chapeautés par le bouillonnant Alfred Neubauer qui a pris en main le département course de la firme … Ensemble ils vont réaliser des prodiges techniques, relayés en cela, par une équipe de pilotes disciplinés tels Karl Kling et Hans KlenK lesquels ont pris la relève des Vétérans comme Lang et le grand gagneur Rudi Caracciola …
C’est grâce à tout ce beau monde que va être mise au point la "300 SL" ( « 300 » pour 3 litres de cylindré, « S » pour Sport et « L » pour Leicht à traduire par léger …)

File0618.jpg

Dans un premier temps ces voitures préparées pour la course sont techniquement fiables mais carrossées assez sommairement, cela en raison de son architecture qui comporte un châssis treillis tubulaires d’une rigidité à toutes épreuves mais débordant en élévation sur les flancs de la voiture, ce qui fait que l’habitacle n’est accessible que par une porte se levant vers le toit, libérant un seuil haut et assez large à enjamber… Cette disposition sera conservée sur les modèles commercialisés par la suite, stigmatisant leur identification… célébrissimes « portes papillons » articulées au sommet du pavillon, les deux relevées, conférant, à cette 300SL une allure de mouette … les anglophones la surnommeront « Gullwing »…

File0609.jpg

Sur le plan moteur, le gros 6 cylindre en lignes de 3000 cm3 en disposition longitudinal et fortement incliné vers la gauche, sur ces modèles de courses, sont d’abord alimentés par 3 carburateurs double corps procurant une puissance de 175 ch. à la voiture … Dans un premier temps, ce sera suffisant pour lui permettre de remporter quelques Grands Prix en Europe puis en Amérique… Mais la plus brillante victoire de cette nouvelle venue en piste, est celle acquise au 24 heures du Mans en 1952. La régularité et l’extrêmement bonne fiabilité des deux "300 SL" engagées, leur font prendre les deux premières places. Pourtant, pendant 22 heures de course c’est la Talbot Lago du regretté Pierre Levegh qui mène la course d’endurance, en tête, les deux Mercedes dans son sillage… Une casse moteur dans la 23ième heure, a, hélas, privé la vénérable Talbot de 1939 d’une éclatante victoire… C’est à partir de cet événement que les 300 SL sont entrées dans le grand livre d’histoire de l’aventure automobile, côté piste d’abord et côté commercial dans la foulée …

File0601.jpgFile0602.jpgFile0603.jpgFile0604.jpg

Curieusement, c’est le modèle issu de la compétition, voué à la commercialisation qui va être équipé d’une motorisation bien plus puissante grâce à l’adjonction de l’alimentation par injection directe d’essence de licence Bosch ; désormais, la 300 SL est animée par une cavalerie de 215 ch. sous son capot plongeant. La voiture présentée à la clientèle est civilisée. A l’extérieur comme à l’intérieur La livrée est somptueuse, racée. De face, sa calandre surbaissée, élégante bouche étirée en largeur jusqu’au deux globes oculaires des phares ronds, est barrée transversalement de chrome et, en son centre, le sigle distinctif de la marque, l’étoile à trois branches, s’affiche dans son cercle étincelant … Une forte identité et un caractère grand sport que soulignent deux bosselages sillonnant, dans le sens, de la longueur le long capot moteur… Avec les deux portes de pavillon relevées, on envisage le décollage immédiat … Est-ce une voiture ou un avion ?... De profil, on atteint là, les sommets de l’élégance racée… rien n’est laissé au hasard... Admirez cette silhouette fuselée aux douces courbures légèrement plongeantes vers l’avant et vers l’arrière, l’habitacle au vitrage légèrement cintré et tout en arcs doux, plongeant vers l’arrière, ses longs « sourcils » de tôle, au-dessus des passages de magnifiques roues Rudges, la sculpturale grille d’aération latéral sur chaque bas flanc avant !… on ne peut que bailler d’admiration... De trois quart arrière, la poupe est aussi un chef d’œuvre de style : douce plongée des masses, arrondies, et ses prises d’air en bout de pavillon, on vient de faire la rencontre d’un engin roulant du 3ième type, y a pas !...
La couleur ?... Le gris argent lui va si bien qu’on a du mal à l’imaginer autrement… le silence est d’or… la parole est d’argent … Avant d’entendre le son de sa voix, il convient de monter à bord et pour cela, ayant relevé la potière gauche, il faut enjamber le seuil avec votre jambe droite puis posant votre postérieur sur le caisson rembourré dudit seuil, le glisser ensuite dans le siège baquet de cuir rouge et, se tenant au grand volant ivoire, passer votre jambe gauche … Ca y est, êtes-vous bien installé ? …

File0600.jpg

Maintenant ayant posé le regard sur votre environnement immédiat, vous avez le souffle coupé par cette ambiance très sport qui règne à bord… Cet univers tout de rouge tendu est conforme à l’image extérieure qu’on a de la voiture … Deux énormes cadrans ronds cerclés de chrome, dans votre champ de vision vous indiquent les montées en régime à gauche et, en vitesse, à droite, d’autres à la base de la planche de bord, de part et d’autre, du grand volant ivoire, vous avisent du bon fonctionnement de la cavalerie dont vous allez bientôt déclencher la fougue dévoreuse d’asphalte … Singularités : le petit levier de vitesse riquiqui dressé sur l’énorme tunnel de la transmission, à votre droite et, derrière-vous, un compartiment à bagage car il vous a fallu renoncer à mettre ceux-ci dans le coffre déjà bien encombré par l’énorme roue de secours … Bon, vu !... Il est temps de réveiller la bête… euh… la belle, excusez …




File0611.jpgFile0610.jpgShow devant, chaud dedans …
Ne vous attendez pas à un tonnerre mécanique, la voix de cette « demoiselle » là est suave mais feutrée aussi … Le bas régime est facilement maintenu sans à-coups et vous pouvez même rouler en 4ième vitesse (Il n’y en a que quatre … eh oui !...) en dessous de 1500 tours minutes ... bel exemple de souplesse… Pour l’instant, le félin avance doucement en ronronnant de plaisir comme vous … En enfonçant la pédale droite… subitement, on change d’ambiance… La première impression est cette poussée dans les reins qui vous colle dans le siège baquet… le hululement de la transmission fait place au grondement rauque du 6 cylindres qui s’élance et monte, sans retenue, dans les tours… A partir de 3500, de ceux-ci, commence la chevauchée fantastique... Changement de décor, le paysage défile de plus en plus vite et bien sûr vous avez choisi une longue ligne droite d’autostrade allemande où la vitesse n’est pas limitée pour jouer les Fangio… (Grand pilote champion des années « 50 » ) Il faut convenir que cette 300 SL là ne peut être mise dans toutes les mains, la première raison en étant que sa vitesse de pointe, de 245 km/h, est assez vite atteinte, la raison suivante est lié au freinage : malgré les grands tambours assistés, il faut vraiment anticiper pour jouer sur la pédale centrale, et lancé, à plus de "200" (vitesse de croisière...), on arrive vite sur les obstacles ; enfin, la raison essentielle tient au fait que, malgré une excellente tenue de route sur bon revêtement, dans le cas où la chaussée comporte quelques légères bosses ou aspérités, en même temps que sur sol mouillé, la motricité de la belle perd de sa superbe… Pour ne pas perdre sa trajectoire, il faut bien maintenir le volant et savoir jouer de la boîte ce qui n’exclue pas d’avoir des yeux de lynx pour percevoir, droit devant, l’état du revêtement où évolue le fauve … Pas évident quand vous êtes lancé au grand galop …
Donc des sensations à la pelle, un plaisir irrésistible mais aussi, des sueurs froides qui ne peuvent compenser la chaleur maintenue dans l’habitacle. Car, si devant ,c’est le show intégral, dedans, c’est le chaud infernal... En effet, la transmission qui passe sous l’énorme tunnel central, alliée aux tubulures d’échappements qui courent sous la caisse, dégagent une chaleur vite étouffante et comme il n’y a pas de glace descendante à cause du décrochement de la tôle à la base des portes papillons, ne pouvant servir de logement à des vitres abaissantes, l’aération latérale est uniquement assurée par des déflecteurs qui s’entrebâillent … Bonjour le bourdonnement des turbulences d’air brassé à plus de « 200 » ! …
Deux ans après la sortie de la Gullwing, Mercedes produira un magnifique roadster décapotable qui sera fort apprécié ... on peut comprendre …

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Tiens pourquoi êtes-vous moite et blanc comme linge en sortant de cette merveille !… Avouez que ça valait le coup de l’essayer !… Question sensation, vous avez fait le plein … comme celui du réservoir de 130 litres … Oui, parce qu’avec une consommation qui flirte avec les 15 à 18 litres au 100, il faut s’assurer une certaine autonomie tout de même…

Hein ! De quelle année est ce modèle?… Ah oui … 1954 … à cette époque, c’était la voiture commercialisée la plus rapide du monde … son prix ? … Humm ! … elle vous intéresse vraiment ? … Alors il va falloir débourser approximativement 100 000 € soit 650 000 de nos Francs passés … une bagatelle !…
Vous réfléchissez ! … N’attendez pas trop pour vous décider, il y a encore des clients sur le coup !…

 
Fiche technique Mercedes 300 SL 1954 – Puissance fiscale : 17 CV.
File0621.jpg- Moteur : 6 cylindres en ligne en position longitudinale avant, incliné sur la gauche. Cylindrée : 2996 cm3 – Alésage/Course : 85 x 88 mm – Bloc en fonte – culage en aliage . – lubrification par carter sec – Un arbre à came en tête. 2 soupapes par cylindre, sur l’ensemble du bloc, les 12 sont disposées en quinconce. – Alimentation par injection directe mécanique Bosch – Allumage par batterie 12 volt . 56 Ah, bobine et distributeur – Refroidissement par eau – Taux de compression 8,5 à 1
Puissance maxi : 215 CH (DIN) à 5800 Tr/mn. – Couple maxi : 26,5 m.kg (DIN) à 4600 Tr :mn.
-Transmission aux roues arrières – Embrayage monodique à sec – Boîte 4 vitesses synchronisées – étagement des vitesses avec le plus grand rapport de pont : 1ière = 83 km/h . 2ième : 138 km/h . 3ième : 203 km/h . 4ième : 235 à 260 km/h !... (suivant les modèles) – Une boîte à 5 rapports est disponible sur demande …
File0622a.jpg- Châssis – suspensions : Châssis en treillis multitubulaire acier – Carrosserie acier avec ouvrants en aluminium .
Roues avant indépendantes par triangles superposés avec ressorts hélicoïdaux, amortisseurs hydrauliques télescopiques et barre stabilisatrice Roues arrières indépendantes avec essieu brisé suspendu par ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques télescopiques.
- Freins assistés à tambour Alfin sur les quatre roues
- Direction à recirculation de billes
- Pneus : 6.50 x 15
- Dimensions : L :4,52 m – l : 1,79 m – h : 1,30 m – Empattement : 2,40 m – Voie avant : 1, 39 m – Voie arrière : 1,435 m
- Poids à Vide : 1310 kg File0622.jpg
- Performances :
Vitesses maximum théorique (données usines ) : 260 km/h – Effective : 245 km/h – Roadster ( 1430 kg ) : 235 km/h
1000 m départ arrêté : 29’’
Accélération : 0 à 100 km/h : 7’’2 !
- Consommation moyenne : 18 l. d’essence au 100 km…
- Prix en 1954 de 3 750 000 F à 4 200 000 F ( anciens )
- Production de 1952 à 1964 : 3269 exemplaires

File0619.jpg

Palmarès : 1952 : 2ième et troisième au Mille Miglia - 1ière et 2ième au 24 h du Mans -
1955 1ière Mille Miglia - Championne des Rallye d’Europe en 1956 … pilotes en Rallye Walter Shock et Willy Mairesse
A noter que Mercedes se retire de la compétition sur piste, suite au tragique accident du Mans en 1955 provoquant la mort de 92 spectateurs suite à la désintégration de la Mercedes de Pierre Levegh qui y laissa sa vie également.
Evolution sport de la 300 SL avec la 300 SLR pilotes : Stirling Moss , Juan Manuel Fangio.
Actuellement en F1, Mercedes, fournit des moteurs à l’écurie Mac Laren …

 
File0607.jpgVoilà, la messe est dite... le rêve fut bien réalité mais pas pour moi, bien sûr ! En fait, de 300 SL , je n’en ai vu qu’une fois et j’ai pu l’admirer sous toutes les coutures , c’était en 1961 sur le port de la Trinité/Mer (Morbihan) ; elle était rouge et immatriculée en Angleterre, avec le volant à droite donc … J'en ai fait plusieurs fois le tour, baillant d’admiration …DSCN3039.JPG
Je ne sais combien de fois je l’ai dessinée et me suis amusé à extrapoler ses formes … Hélas, quelques années plus tard, j’ai donné tous mes dessins, il ne m’en reste même pas un … Bast !.. dans ma vitrine de modèles réduits, j’ai bien une 300SL à l’échelle 1/18ième …
La vraie, elle, demeure bien, l’inaccessible étoile …

PL17

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E
Patrice Lucquiaud on ressent en vous lisant la passion de l'esthétique, de la beauté des formes, alliée à l'admiration et au respect d'une technique que vous semblez connaître jusqu'à la plus petite vis, et que vous partagez aux novices dont je fais partie, et qui a lu votre post jusqu'au bout (...et il est long, rempli de détails techniques) avec une curiosité et un intérêt grandissant à chaque ligne....bravo à vous, vous êtes un vrai technicien-écrivain-poète...c'est de plus en plus rare en ces temps....La lecture de votre article m'a passionné....
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E
Merci pour cette excellente description
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F
ric Florentin Bonjour. Il n'y a pas de quoi. L'automobile c'est toute une aventure qui englobe un siècle et demi d'Histoire et qui va certainement vivre une grande révolution au cours des prochaines décennies sur le plan technique et social à cause des bouleversements climatiques. Là, nous sommes déjà dans son passé fastueux, une époque où les soucis écologiques étaient loin des consciences à l'ère de la voiture plaisir et sensations fortes. Voir Photo jointe plus haut du roadster Mercedes 300SL Du sublime au niveau esthétique et performances mécaniques... Un objet de rêves, disons le ... 😉
P
bien bel article : <br /> connaissez vous cela :https://www.eaglemoss.com/de-de/modelle-modellbau/ihr-modellbausatz-mercedes-300sl/<br /> et : http://modelism.forumactif.org/t5451-mercedes-300-sl-1-8-aegelmoss
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F
j'ai eu la chance de conduire la190 SL cabrioletQUELLE PLAISIR DE CONDUITE ET QUELLE CLASSEmerci de m'avoir fait rêver
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C
oh un papillon hé hé superj'ai pas l'adresse du ceint siége t'inquiéte donc lolet vatican dira t'on
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A
Des mercedes 300Sl j'en ai vus... je dis bien "des" car j'ai longtemps travaillé à deux pas de l'Elysées et il n'était pas rare dans les années 70-80 de voir encore de nombreux exemplaires stationner en double file près du magasin Hermes ... ou aux portes du Bristol couvés par le regard enamouré du portier...Article super détaillé et de belle facture... comme la voiture en question;)Mille bisous aux Farfadets
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L
Eh bien SSiratus , il est aussi vrai que la marque Daimler-Benz tient son nom de la fille  D'Emile Jellinek , l'importateur en France de cette marque important concessionnaire installé à Nice,  Sa fille s'appelait Mercedes ...Karl Benz - Goettlieb Daimler - Mercedes ... Nous avons là les 3 branches de la fameuses étoile inscrite dans un cercle symbole d''unité ...
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S
Trop belle, on rêve !Mon cousin qui vit au bout du monde, a débarqué un beau jour avec sa belle Mercedes...On attendait une voiture, quatre roues et un moteur...C'était sa femme ! Bien jolie aussi !Bisous
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R
euhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh jai toujours pas recu ma voitureeeeeeeeeeeeeeeeeeeeee jattendssssssssssssssssssss lol
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P
Quelle classe !!gros bisous et bonne soirée Pascaly
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M
salut Patricecomme tu parles bien des belles choses.Qui n'a pas rêvé de cette légende "papillon".bisous à vous deuxjaguar placide
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L
Je tenais à vous remercier pour votre commentaire.Amicalement
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N
désolée je suis passée vite, en matière de voiture , je ne reconnais que la couleur ... mais j'ai bien vu les ailes
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M
Bonsoir Farfadet ! Je comprends que la bougresse t'ait séduit, elle des arguments, un beau chassis et de la personnalité la teutonne !!!
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J
Quel reportage..digne du meilleur journaliste..lol...et quelles voitures..ont dirait des voitures volantes !! tu as bien bossé le sujet, félicitations...bisous Farfadet et aussi à Annie :0010:
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M
magnifique et article passionnant! bravo farfadet!:0014:
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J
Elle est vraiment belle cette automobile ! Evidemment la consommation de carburant fait un peu peur.... Mais on a le droit d'aimer et de réver :o))Bisous les Farfadets
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F
Slt, bien ton blog je t'es mis +5. Fais pareil stp sur fandeferrari.skyblog.com... le 1er article devrait t'interesser!
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G
tout simplement superbe!!pourquoi ils ne fabriquent d'aussi joli voiture!! J'adore les porte!!Et aussi la miniature...pour les voitures je suis très nostalgique des vieux modèles si particulier qui ont comme... une ame...
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C
un récit qui me laisse sans voix farfadetje n'ai jamais vu cette voiture mais si jamais.... photo 
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C
Voilà un article passionant et trés détaillé.. même pour moi qui ne suis pas un spécialiste d'automobiles. C'est certain que cette merveille a de quoi faire tourner la tête. Superbe, magique... ça laisse rêveur!Bravo encore pour ton article!Bises les farfadetsCyril / Zé
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G
et bisous Patrice !!
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P
Coucou, Je voulais m'excuser de mon retard pour les coms ... une absence due à une migration de mon css en V2, ce fut une catastrophe !! Merci pour ton soutien. .... et en plus, il pleut !!! Pascaly 
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F
bon dimanche en mercédès.
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Z
Les portières ouvertes ça ressemble à la voiture de batman.
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R
dois je donner mon adresse pour la livraisonlollllllllllllllllllllllllllll
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T
c'est drôle pârce qu'au boulot j'ai les oreilles cassées par james bond ( il vien de sorti en dvd , donc opération marqueting: mettez vous ça bien dans le crâne, sauf que les clients , eux ne reste pas 8h dans le magasin) bref voila je faisait le lien...
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L
La Classe !!!!Sacré voitureavec les portières en papillon
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O
le rêve de ma fille, la grande, je l'a comprend qu'elle petite merveille cette voiture  
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F
bonsoir Farfadet merci de tes coms, belles voitures, bonne soirée dans le 86
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Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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