Les deux modèles* décrits dans l’article précédent ont vu le jour au cours des années « 30 » marquées, au début, par le crack boursier du tristement célèbre jeudi noir en 1929, au milieu, par la crise sociale et les grèves de 1936 et, à la fin, par la deuxième guerre mondiale…C’est dire combien le contexte s’avérait inadéquat pour un épanouissement de l’industrie automobile. Eh bien, malgré cela, c’est dans ces années « trente » que l’automobile, encore réservée à une élite sociale, connaît, sinon son apogée, mais une avancée technologique considérable laissant déjà entrevoir ce que sera l’auto de demain … C’est au cours de ces années de tensions internationales que les constructeurs en viennent à s’intéresser plus particulièrement à l’aérodynamisme. Mieux vivre avec son auto, devient une priorité et des solutions de confort à bord, apparaissent aussi à cette époque. Egalement on devient « fou » de performances … Les constructeurs se jettent dans des compétitions d’endurance sur piste et sur route. Les records pleuvent … On découvre l’auto plaisir… Elle, l’auto, gage de réussite, devient l’égérie de nombreux concours d’élégance… L’auto fait rêver… L’auto parcourant des routes de liberté n’est, hélas pas, à la portée de toutes les bourses… Si, à la fin des années « 30 », les grandes villes retentissaient déjà du tintamarre automobile, la guerre puis l’occupation en ont, fort sensiblement, atténué les échos… A la fin de ce terrible conflit mondial, la situation économique et politique ( Plan Marshal…) n’étaient guère favorable à une reprise de l’industrie automobile dont bon nombre d’usines avait été endommagées par la guerre. De nombreux constructeurs avaient mis définitivement la clef sous la porte … Il faut attendre l’aube des années « 50 » pour entrevoir la fin de cette mauvaise passe. L’éclosion du marché automobile se fera à partir du milieu de cette décennie… Dans la société d’après-guerre, d’un monde axé sur des besoins accrus de communications, l’auto se révèle indispensable et cette fois, elle devient un bien d’équipement pour tous … Pour cela les constructeurs, s’étant adapté au contexte, rivalisent d’ingéniosité pour mettre au point et fabriquer des autos moins coûteuses, économiques, fiables, facile d’entretien. Ce fut le cas pour Renault avec sa « 4 CV » et pour Citroën avec sa « 2CV » Peugeot plus traditionaliste, pendant 8 ans, maintient la production d’un seul modèle : la « 203 » prolongement « fuselé » de la « 202 » conservée au catalogue de production jusqu’en 1948…
C’est pour ces raisons que 20 années séparent, les commercialisations respectives de la "402" et de la "403"… Une année seulement s’était écoulée pour que Peugeot passe de la "401" à la "402" … il en faudra 20 pour que la 403 succède à la "402" …
La 403 (1955 – 1966)
Historique : Le 20 Avril 1955 la nouvelle Peugeot est présentée aux concessionnaires de la marque au Trocadéro … Point de surprise, la nouvelle sochalienne est un pur produit maison qui va épauler la vieillissante « 203 » quelques années encore. Dans une logique propre à ce constructeur traditionaliste et prudent, pour fidéliser sa clientèle, Peugeot l’a faite passer successivement de la « 202 » – 6CV à la « 203 » – 7CV et lui propose maintenant la « 403 » – 8CV pour une montée en gamme très graduelle.
Après Simca, avec l’Aronde, Renault, avec la Frégate, Panhard avec sa Dyna Z, Peugeot, à son tour, adopte la carrosserie type « Ponton » à 3 volumes monoblocs, c'est-à-dire que le compartiment moteur, l’habitacle et le coffre constituent, d’un seul tenant, la carrosserie. Si chez les trois premiers constructeurs cités, les lignes sont encore inspirées par les courbes et les rondeurs, par contre, chez la sochalienne, les lignes de la « 403 » sont plus tendues et les masses plus cubiques. Le résultat est à la fois moderne et austère. Cette silhouette bien campée est née du premier partenariat de Peugeot avec Pinin-Farina. Avec ce nouveau modèle de la catégorie des 1500 cm3, Peugeot comble le vide existant dans la production française face à la production étrangère… Berline moyenne, classique, de présentation sobre, robuste, pourvue d’éléments mécaniques fiables, la 403 va séduire une vaste clientèle. Celle, déjà drainée par les possesseurs de « 203 » complétée de celle qui, venant de la concurrence, aspire à posséder une voiture moderne et sûre. Dans un premier temps la « 403 » s’adresse à une classe bourgeoise. Cadres moyens, commerçants, fonctionnaires titrés, médecins.
Vingt ans après la « 402 », la « 403 » ne vient pas, comme sa devancière, surprendre mais prendre une clientèle qui découvre la « nécessité automobile ». De ce fait, la Peugeot familiale de 1955, n’a pas la silhouette fuselée de son aïeul mais un aspect plus trapu, plus en phase avec les impératifs d’une société de consommation naissante. Les masses et les volumes répondent à la tendance rationnelle qui veut qu’une auto jugée moderne, à cette époque, comporte : un compartiment mécanique facile d’accès, un habitacle vaste et lumineux, un coffre logeable. Dans ce monde d’après guerre qui bouge de plus on plus, les gens de déplacent, eux aussi, de plus en plus souvent. Il faut être mobile et pratique, L’auto est outil mais aussi instrument de loisir. A son bord, on effectue les déplacement obligés du quotidien, mais aussi les escapades en fin de semaine et des voyages au long cours, au moment des vacances … La « 403 » fait essentiellement partie des voitures conçues à ces fins… Et c’est ce qui a fait son succès … En 11 ans de production il a été vendu presque 1 200 000 de « 403 » toutes versions confondues : Berlines, cabriolets, break familial ou commercial et camionnettes…
Ce modèle dans sa version cabriolet passe à la postérité grâce à la célèbre série policère américaine à travers les enquêtes du très débonnaire et perspicace lieutenant Colombo qui se singularise avec son imperméable, son basset Hound et sa « vieille 403 cabriolet éternellement capotée». Au-delà d’une publicité coûteuse, Peugeot peut remercier l’étonnant acteur Peter Falk d’avoir, par son choix automobile, immortalisé cette vénérable « 403 »
Au niveau technologique, la 403 adopte un moteur avec culasse hémisphérique en alpax, un système de refroidissement bien régulé avec ventilateur débrayable. A partir de 1959, équipée du robuste moteur « Indénor », en 1959, elle devient la première berline diesel française… Ainsi motorisée elle va équiper plusieurs flottes de taxi en France et en Belgique…
Caractéristiques techniques de la « 403 »
Moteur essence 8CV : 4 cyl. en ligne de 1468 cm3 développant 58 ch. Din à 4900 tr/mn. Taux de compression : 7 à 7,4 selon modèle – Vilebrequin à 3 paliers – Distribution par soupapes en tête – Alimentation par carburateur Solex de 32 – Graissage sous pression. Contenance du carter d’huile 4L. – Refroidissement par eau Capacité du circuit 9 L.
Equipement électrique : 12 volts, 58 ampères. Allumage par batterie et distributeur.
Transmission : Classique par arbre et pont à vis sans fin aux roues AR. – Embrayage : mo nodisque à sec ; coupleur Jaeger en option – Boîte 4 Vitesses synchronisées + MA ; 4ième surmultipliée jusqu’en 1961 ; après, 4ième en prise directe.
Freins : à commande hydraulique avec Tambour sur les 4 roues.
Suspensions : AV à roues indépendantes avec ressorts à lames transversal – AR : à essieu rigide avec ressorts hélicoïdaux ( ressorts à lames sur les breaks ) Amortisseurs : hydrauliques à levier ( télescopiques à l’arrière sur les modèles à partir de 1960)
Direction : à crémaillère – Diamètre de braquage 9.50 m. – 10 m. pour les breaks.
Dimensions : Empattement : 266cm ; 290cm pour les breaks – L : 447cm ; 461cm pour les breaks – l : 167cm ; 168 cm pour les breaks – H : 150 cm ; 159 cm pour les breaks
Poids : 1070 kg ; 1210 kg pour les breaks.
Capacité réservoir carburant : 50 l.
Pneumatiques : 165 x 380 ; 175 x 380 sur les breaks.
Vitesse max : 135 km/h ; 125 km/h pour les breaks
Prix : en Avril 1955 : Berline luxe : 700 000 F. Avec toit ouvrant : 725 000 F.
« 403 » Diesel – Mêmes caractéristiques que le modèle essence sauf :
Moteur : 7CV. 4cyl totalisant 1816 cm3 développant 48 ch. A 4000 tr/mn. Taux de compression de 21. – Vilebrequin à 5 paliers - Alimentation par injecteurs et pompe d’injection Bosch.
Equipement électrique : 12 volts 75 ampères.
Poids : 1160 kg. ; 1300 kg pour le break.
Vitesse : Berline 115 km/h ; Break :110 km/h.
Prix : en 1960 : Berline : 10750 F. Break : 10950 F.
A noter que la « 203 » sera encore produite 5 années au côté de la « 403 » Peugeot dispose alors de deux modèles déclinables, chacun, en pas moins de 6 variantes de carrosseries…
A la fin des années « 50 », au faîte de sa carrière, la « 403 » est très appréciée d’une vaste clientèle et le sera également sur le continent africain. C’est aussi un modèle très prisé en occasion. Sa robustesse légendaire, sa fiabilité et sa version diesel aussi économique qu’endurante, établissent la réputation de solidité et de sérieux de fabrication de la marque au lion…
1960 et l’avènement des sixties… Quinze années après la fin de la guerre, le modèle américain en matière de façon de vivre et consommer fait fureur en Europe. Le rêve américain fait école, on découvre les drugstores, puis les hyper marchés, Saint Germain des Près est occulté par le Golf Drouot où une nouvelle vague de jeunes s’agitent et se trémoussent sur des airs et des musiques a la rythmique endiablée… le rock’n’roll, le twist, le jerk, le madison, supplantent le bal musette à papa … Pour cette jeunesse insouciante, parfois turbulente, l’heure est aux plaisirs et à la joie de vivre. En dépit des tentions internationales (guerre froide entre le bloc Est et Ouest, crise du canal de Suez, décolonisation douloureuse, sur le plan économique, les sociétés occidentales connaissent la croissance… Cette conjoncture est plus que favorable aux constructeurs d’automobiles dont le marché est en pleine expansion.
Peugeot, en constructeur pondéré, poursuit prudemment son plan d’élargissement de sa gamme en peaufinant l’outil de production… Le Sochalien reste fidèle à sa logique entamée après guerre, étant passé de la 6, à la 7, puis à la 8CV, en ce début d’année 1960, il présente sa nouvelle 9CV… (Cette politique d’augmentation graduelle de gabarit et de puissance de ses modèles de gamme moyenne prendra fin en automne 1968 avec l’apparition les 10 – 11CV « 504 ») En outre, la firme au Lion, maintient le modèle précédent, à la production, au moins 5 années. Ainsi, la vieillissante « 403 » sera proposée à la clientèle de 1960 à 1965 au côté de la jeune « 404 » Il en sera de même, pour cette dernière, maintenue de 1969 à 1975 au côté de la 10 CV « 504 ». Cette politique maison possède l’avantage de laisser le choix à la clientèle entre deux voitures de classe moyenne, de style et de puissance différente …
La 404 (1960 – 1975) :
Historique : Peugeot pour « habiller » sa nouveauté a de nouveau fait appel au carrossier turinois Pinin-Farina qui a prélevé dans ses cartons les dessins déjà appliqués à l’Austin «A 55 » l’année précédente . Quand Peugeot dévoile à la presse la nouvelle « 404 » , il ne provoque pas la surprise comme Citroën l’avait fait avec sa « DS », 5 ans plus tôt. Le style de la nouvelle venue est moderne mais reste classique. Adieu les rondeurs d’antan, on fait dans les lignes tendues et acérées suivant les tendances du moment, copiant heureusement, avec beaucoup de modération, les modèles d’outre atlantique qui arborent, sans retenue, la mode des ailerons fuyants, les calandres béantes et rutilantes, ciselées dans une débauche de chromes… A Sochaux, on est et on demeure modéré. Ainsi la nouvelle taillée à « coups de serpes » francs et bien appliqués, conserve, sous ses lignes tendues, l’homogénéité, du style et des volumes. Un habitacle lumineux, bien réparti entre compartiments moteur et coffre de taille mesurée, confère à l’ensemble une silhouette aux proportions soignées, relevée par juste ce qu’il faut de fantaisie latine…
La « 404 » va plaire aux vieux comme aux jeunes. Bourgeoise, cossue sans ostentation, c’est un modèle passe-partout mais aussi en phase avec le dynamisme des jeunes cadres (ou « jeunes loups » comme dans la Chanson de Jean-Jacques Anoux) issus des générations pro informaticiennes montantes et qui s’affrontent dans les nouvelles sociétés fleurissant sur l’hexagone… De bonne présentation, et nantie d’une mécanique éprouvée et performante, facturée à un prix raisonnable, la « 404 » se taille une bonne part de marché parmi les berlines de la classe moyenne supérieure du moment. Chez Citroën, l’ID dérivé de la « DS » est encore une 11CV … Avec l’apparition de la « vignette » ( Taxe fiscale annuelle dont le bénéfice devait revenir aux « vieux » … Tu parles Charles !...) des assurances obligatoires, s’ajoutant à la consommation en carburant, la puissance fiscale d’une auto, commence à être déterminante au moment de l’achat. La « 404 » vole donc des parts de marché à la Citroën … Sa grande rivale arrivera plus tard, en 1965, produite par la Régie Renault, la R16 une 8CV au gabarit à peu près identique mais dont le style de carrosserie innove avec la configuration bicorps flanqué, à l’arrière, d’une 5ième porte…Les Simca 1300 - 1500 apparues en 1963 n’entameront pas la carrière de la sochalienne qui s’est très vite fait, à l’égale de son aînée, la « 403 », une réputation de voiture confortable et fiable mécaniquement… C’est au niveau de sa motorisation que la « 404 » sera vraiment innovante par l’adoption de l’injection qui augmente la puissance, la souplesse du véhicule, tout en s’avérant plus économique en carburant … La tenue de route est jugée bonne pour une propulsion. Le seul défaut constaté parmi les premières séries, tient au freinage qui se révèle peu endurant à l’échauffement surtout en montagne. Peugeot remédie à ce problème en 1962 avec un système thermostatique assisté puis, en 1966, en adoptant des freins à disques à l’avant.
Comme tous les modèles précédents , le constructeur sochalien décline cette « 404 » bien née en variantes , break familial et commercial, en jolis coupé, et cabriolet carrossés par le Maître turinois, en camionnette bâchée et pick-up fort appréciés par les petits artisans et entrepreneurs.
Une Version diesel est proposé dès 1964. Elle viendra, presque aussitôt après sa sortie, rajeunir la flotte de la compagnie G7 des taxis parisiens. Ce nouveau « XD 88 » entraîne la berline à 130 Km/h ce qui est considéré comme une performance honorable pour une berline de tourisme de cette époque, roulant au Gas-oil… En 1965, sur l’anneau de vitesse de Montlhéry, un prototype barquette équipé de ce moteur diesel remportera la palme d’endurance sur 24H à la moyenne de 161 km/h.
La « 404 » connaîtra un immense succès sur le continent africain dépassant nettement celui de sa respectable aînée la « 403 »…
Contemporaine du début de la 5ième république, la « 404 » traversera les mandats de 3 présidents de la république et sera bien présente dans les rues, lors des événements de Mai 68… En fin de carrière, le 1er choc pétrolier lui vaudra de revoir sensiblement à la baisse la puissance de sa motorisation essence …
En matière d’image sportive, la « 404 » tient ses lettres de noblesse sur la caravane du tour de France où elle est très prisée par les services de Presse. Mais surtout par les directeurs d’équipes. Celle, rouge et blanche, à double-toit ouvrant et bardée de grandes antennes du grand Patron du tour Jacques Goddet restera dans les annales, comme un modèle du genre…
A l’origine séductrice de la classe dite bourgeoise, dans son deuxième temps de carrière, elle en a tenté plus d’un de la classe dite prolétaire. Sur le marché de l’occasion, elle est la voiture familiale incontournable. Au début des années « 70 » Bon nombre de familles des quartiers populaires s’équipent de « 404 »… Sa vaillance et sa robustesse sont plus qu’une légende, un fait authentique !…
En 15 années, il sera produit environ 1 500 000 exemplaires de "404" ...
Caractéristiques techniques de la « 404 » Modèle 1960 -
Moteur : 4cyl. En ligne de 1618 cm3 – 9CV – Puissance : 72 ch. A 5400 tr/mn – Taux de compression de 7,4 – Vilebrequin à 3 paliers – Distribution par soupapes en tête commandées par tiges et culbuteurs à partir d’un arbre à cames latéral. Alimentation par carburateur Solex de 32. – Graissage par pression. Capacité en huile du carter : 4 L. – Refroidissement par eau avec thermostat et ventilateur débrayable. Capacité du circuit d’eau : 7,8 L.
Equipement électrique : 12 Volts 55 ampères – Allumage par batterie et distributeur.
Transmission : Classique aux roues AR – Embrayage : monodisque à sec – Boîte : 4 vitesses + MA. (4ième prise directe) Levier au volant – Pont arrière à vis sans fin.
Freins : à commande hydraulique avec tambours sur les 4 roues.
Suspensions : AV : à Roues indépendante et ressorts hélicoïdaux – AR : essieu rigide avec ressorts hélicoïdaux – Amortisseurs hydrauliques télescopiques à l’AV. et à L’AR.
Direction : à crémaillère – Rayon de braquage 10 m.
Dimensions : Empattement : 265 cm – Voie AV : 134,5 cm – Voie AR : 128 cm. – L : 442 cm. – l : 162,5 cm. – H : 145 cm.
Pneumatiques : 165 X 380
Poids : 1030 kg.
Vitesse Max : 142 km/h.
Prix : 9150 F la berline Grand Tourisme – 9300 F. avec toit ouvrant.
( La « 404 est née la même année que le « Franc » dit nouveau … 100 F. anciens = 1 NF ( Nouveau Franc …)
Moteur injection ( Modèle 1962 ) : 9CV – Même bloc de 1618 cm3 que modèle précédent mais puissance portée à 85 ch ; à 5500 tr/mn. Taux de compression de 8,8 – Alimentation par injection d’essence « Kugelfischer »
Poids : 1080 kg.
Vitesse max. : 155 km/h
En 1966 puissance montée à 96 ch. A 5700 tr/mn
Vitesse max : 160 km/h .
Prix : Berline : 11 800 F. – Coupé injection : 19 950 F.
Moteur Diesel : type XD 88 - 8CV. – 4 Cyl. En ligne de 1948 cm3 – Puissance : 68 ch à 4500 tr/mn – Taux de compression de 21. – Vilebrequin à 5 paliers – Alimentation par injecteurs et pompe d’injection diesel Bosch – Contenance du circuit de refroidissement : 10 L.
Equipement électrique : 12 volts 75 ampères
Poids : 1130 kg.
Vitesse max. : 130 km/h.
Prix : en 1963 : Berline tourisme : 9950 F.
En 1960 , à la « 404 » revient le mérite d’inaugurer la génération « 04 » qui sera largement étoffée en gamme par un éventail de 6 modèles allant du « 1 » au « 6 » sur une période de 17 ans …
PL17
* : Voir, ci-dessus, l'article précédent : La "401" et le "402"
NB : Placer la flèche de la "souris" sur chaque photo ou image, sans cliquer, fait apparaître le commentaire approprié.
Photos scannées à partir de :
- "Automobilia" N° 29 - N° 36.- Edition "Histoire & Collections"
- "Toutes les Peugeot" de "René Bellu" - Edition "Jean-Pierre Delville"
- "La Caravane du Tour de France" - Edition "Atlas"
- "Voitures Françaises de collection " Edition "Hachette"
- "Peugeot Collection" - Edition "Hachette"
A suivre : 405 - 406 - 407...