Hier dans La Nouvelle République est paru un article traitant des valeurs Olympiques face aux enjeux tenant aux coûts de leurs réalisations : installations, équipements et logistique à la charge de chaque nation qui en accueille le retentissant événement tous les quatre ans. Au-delà de ce sujet polémique figurait aussi la misogynie du baron Pierre de Coubertin… et certains de ses propos rapportés contre la participation des femmes aux épreuves de diverses disciplines sportives, ne peuvent nous paraitre que scandaleux.
Hier soir également sur F.3, était diffusé un documentaire bougrement édifiant sur les conditions de travail des femmes dans l’industrie textile : « Le siècle des couturières ».
De la société patriarcale confortant le machisme jusqu’aux soubresauts d’une réelle prise de conscience s’étant effectuée au cours des événements sociétaux de Mai 1968, on en est arrivé progressivement à plus d’équité des droits entre hommes et femmes, bien qu’en matière de salaires et de reconnaissance de leurs compétences égales et parfois supérieures à celles des hommes, on est encore loin du compte.
Dans l’actualité, la violence faite aux femmes, les féminicides, figurent hélas, encore bien trop souvent. Nous devons remédier à cela avec autant de pugnacité et de réflexions que les femmes ont usé et manifestent encore pour accéder à cette libération complète, les affranchissant définitivement du joug du patriarcat archaïque et du machisme récurent.
Hommes Femmes, deux visages honorables et respectables de notre humanité, ont légalement les mêmes droits et les mêmes devoirs au sens de la citoyenneté établie dans l'esprit Républicain de la Liberté, de l' Egalité et de la Fraternité.