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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #D'Hier - d'Ici et d'Ailleurs ...
Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.
Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping  le poste à transistors - Solistor -  Transistor Radiola du Farfadet.

Générations de postes TSF et Radios portables à transistors : Avant guerre - Années 40-50 - Années 60 - En camping le poste à transistors - Solistor - Transistor Radiola du Farfadet.

Eh oui, sur cette autre voie des ondes, de nos postes TSF, de nos Transistors et aussi de nos auto-radios, les émissions radiophoniques de tous genres ont accompagné pas mal de nos moments de vie avant que les premiers téléviseurs s'incrustant dans nos salons.

On se réunissait autour de son poste TSF pour écouter en famille les émissions radiophoniques déjà très variées dans les années après guerre à commencer par le Journal radiophonique qui, avec deux à trois émissions quotidiennes, diffusait les informations du jour.

Sur les anciens postes il y avait déjà un bon nombre de stations radiophoniques que l'on pouvait capter, faisant grésiller les appareils, en tournant la molette qui déplaçait l'aiguille ou le curseur sur le cadran où étaient listées les stations. entre grandes ondes, ondes courtes et plus tard FM (modulation de fréquences)

 

Quelques pépites dans le fatras des émissions radiophoniques.

La famille Duraton - Les jeux de Zappy Max -  Sur le banc ...La famille Duraton - Les jeux de Zappy Max -  Sur le banc ...La famille Duraton - Les jeux de Zappy Max -  Sur le banc ...

La famille Duraton - Les jeux de Zappy Max - Sur le banc ...

Incontournable, chaque soir, "La famille Duraton"  feuilleton produit par Jean-Jacques Vital scénariste et acteur, se retrouvait pour notre plus grand plaisir, avant de passer à table. Le quotidien anecdotique de ses personnages nous devenait toujours plus familier. La vie avec ses imprévus, ses quiproquos, ses heurts, et ses rires portés par la bonhommie de chaque membre de cette famille volubile et la dédramatisation dépassant avec humour le flot des déconvenues. Ce quart d'heure de bonne humeur était excellent pour ouvrir l'appétit et nourrir les conversations autour de la table familiale.

Cette émission avant le dîner avait sa contrepartie à 13H50 à l'heure du déjeuner avec le feuilleton policier du truculent Zappy Max : "Ça va bouillir" introduisant  de façon loufoque dans l'intrigue des spots publicitaires.

Dans cet esprit à la fois gentillet  canaille et drôle il y avait les inséparables clochards interprétés par Jane Sourza et Raymond Souplex, devisant ou se chamaillant *Sur le banc*.

"Le grenier de Montmartre" du dimanche à l'heure de l'apéro est une émission créée après guerre en 1946 qui rassemble un bon lot d'humoristes et auteurs de bon mots. Pendant presque 30 années il vont faire rire la France entière en raillant, transcendant ou tournant en dérision l'actualité  politique et sociale, ne redoutant pas d'écorcher les sensibilités des personnages de la république les plus en vue.  On retrouve ces protagonistes dans les différents caveaux parisiens comme au "Théâre des deux ânes" et "Les trois baudets". Inoubliables et talentueux potaches à la gouaille bien franchouillarde : Jean Amadou - Raymond Baillet - Billy - Jaques Bodoin - Léo Campion - Martial Carré - Anne-Marie Carrière - Françoise Dorin (Mademoiselle Coqueluche) - Suzanne Gabriello - Pierre Gilbert - Jacques Grello - Maurice Horgues - Pierre Jacob - Jean Lacroix - Jean Lec (Fondateur de l'émission) - Edmond Meunier - Mirabelle (au piano) - Robet Rocca  - André Rochel - Pierrette Souplex - Raymond Souplex - Jeanne Sourza - Pierre-Jean Vaillard - Christian Vebel. Il faut dire que sous la IVe, ils avaient matière à faire rire en s'inspirant du va et vient des gouvernements, des décisions et postures de leurs représentants. Valses républicaines qui bien avant Brel ont mis le temps à trouver le bon tempo... 😉

On peut ajouter à cela les sketchs radiophoniques De Robert Lamoureux avec sa chasse au canard en appartement, les  extravagances de Fernand Raynaud  avec sa "chemise lilas blanc", son plombier noyé sous les "qui c'est ?" Bourvil nous chantant goguenard la tagadagadatactique du gendarme.

C'est l'époque de la France bon enfant, guinchant aux bals musettes du samedi soir, des dimanche en famille devant une table bien garnie, du Tour de France à la Robic, à la Bobet, à la Anquetil, à la Poupou, des cirques aux grands chapiteaux parmi lesquels Radio-Circus que sponsorisent Radio Luxembourg puis Radio Monte-Carlo.

Le poste de radio est devenu ce nouveau membre de la famille qui non seulement nous informe mais aussi nous instruit et surtout nous permet de garder le sourire en écoutant les jeux diffusés sur ses ondes... Souvenez-vous :  "Quitte ou double"  avec ce monsieur Champagne érudit qui arbitrait et que l'on tentait aussi de coller. Suivant ses réponses justes ou fausses, le public chantait en applaudissant ou en scandant joyeusement :

Bravo, bravo ! Monsieur Champagne, vous nous avez bien renseignés,
Bravo, bravo ! Monsieur Champagne, vous êtes digne d'enseigner.

Zéro zéro ! monsieur Champagne, Vous nous avez mal renseignés.
Zéro zéro ! monsieur Champagne, Vous n'êtes plus digne d'enseigner.

 

"100 francs par seconde" est une autre émission jeu hebdomadaire crée par Jacques Antoine et présentée par Pierre Bellemare. Au-delà du divertissement instructif; sa particularité ludique est de déstabiliser le candidat au moment où il doit donner une réponse à la question qu'on vient de lui poser, en le mettant dans des situations physiquement inconfortables. On verrait là un prélude au jeu télévisé qui apparaîtra plus tard sous l’appellation "La tête et les jambes" également animé par Pierre Bellemare.

*Le Jeu des 1000 Francs* (à l'origine "100 000 F. par jour") diffusé sur France Inter avant 13 H, a été  créé en 1958 par Henri Kubnick. Présenté et animé pendant longtemps par Lucien Jeunesse, il est  le jeu radiophonique le plus ancien puisqu'il est encore diffusé aujourd'hui chaque week-end sur F.3 comme jeu des 1000 € animé par Nicolas Stoufflet et Carinne Teyssandier.

*Les maîtres du mystère* diffusé le mardi soir, sur France Inter à partir de 1957 est une émission dramatique avec intrigues policières  réalisée par Pierre Billard et produite par Germaine Beaumont. Elle rassemblera  pendant une vingtaine d'années plus de 12 millions d'auditeurs et sera diffusée dans 25 pays.

Les radio-crochets musicaux créés dans les années 30, connaissent leur apogée dans les années 50-60. Sous forme de concours de chants et chansons, ils permettent à des jeunes artistes encore méconnus de révéler leur talent d'interprète et (ou) de compositeur au grand public. Cela deviendra  par la suite  "Le petit conservatoire de la chanson" créé et animé par Mireille produit pendant 5 ans à la radio, puis 14 ans à la télévision sera un grand révélateur de vedettes.

*Salut les copains* est une émission de variété Pop lancée en 1959 sur Europe 1 par Frank Ténot et Daniel Filipacchi qui a duré une dizaine d'années. Elle était diffusée quotidiennement de 17H à 19H pour être suivie par les scolaires des collèges et Lycées fans des chanteurs de la génération Yé-yé. Elle a conduit  au rang de stars de la chanson des générations de jeunes révolutionnant le genre en s’accompagnant de guitares électriques, produisant une musique héritée du Rock'n'roll, aux sonorités éclatantes et à la rythmique "endiablée"

"L'oreille en coin" sur France Inter est un ensemble d'émissions du week-end produit par Pierre Codou et Jean Garretto. Un melting-pot de séquences radiophoniques de genres très différents alliant les épisodes humoristiques, satyriques et intellectuels voire philosophiques. C'est le choc des cultures : le sérieux, la dérision, les propos potaches, les rubriques libertines mais jamais "grasses", l'humour chansonnier, l'info événementielle revue à la loupe, alternant en permanence, enchantent les samedi après-midi, dimanche matin et dimanche après-midi des auditeurs. Je me souviens qu'en 1969 Jean Yanne et Jacques Martin y firent plusieurs apparitions introduisant, suivant leur style totalement "décalé", leurs notes grinçantes et caustiques, à travers leurs perceptions très personnelles des réalités du moment, sorte de "Hara-kiri" radiophonique.

Autoradio Blaupunkt des années 70.
Autoradio Blaupunkt des années 70.Autoradio Blaupunkt des années 70.

Autoradio Blaupunkt des années 70.

Mais la radio est aussi une compagne de route qui perdure encore aujourd'hui. Dans les années 50-60, l'autoradio est un accessoire qu'il faut acheter indépendamment puis monter soi-même ou faire monter, il deviendra un équipement en option dans les années 70 puis sera monté en série sur chaque modèle de voitures à partir du milieu des années 80. Cette radio de bord est particulièrement appréciée de ceux qui voyagent la nuit où des émissions radiophoniques adaptées aux besoins des conducteurs et des chauffeurs de poids-lourds sont apparues dans les années 60.

Crée par Roland Dhordain "Route de Nuit" diffusée à partir de 1955 sur France Inter, est une émission qui s'adresse aux travailleurs de la nuit. Bernard Marçay, Anne-Marie Duvernet, Jean-Louis Foulquier, Claude André partent à la rencontre d'auditeurs.

Puis, Sur RTL, de 1972 à 1983, Max Meynier anime l'émission dont il est aussi le créateur "Les routiers sont sympa" de 20H30 à Minuit. Elle connut un vif succès, étant suivie chaque soir par plus de 800 000 auditeurs. Cette présence chaleureuse sur les ondes, favorisait l'assistance mutuelle entre chauffeurs routiers mais aussi avec les relais ouverts la nuit. Juste avant l'apparition puis la généralisation de la cibi, l'ambiance était à la fois amicale et musicale entre la diffusion de messages particuliers et les infos sur l'état de la circulation et des routes à ces heures de nuit. Les  chauffeurs ne se sentaient plus seul dans leurs cabines.

La Radio a accompagné mon enfance, ma jeunesse et longtemps encore mes déplacements et voyages. Du flot de paroles et de musiques naissent d'étonnant paysages qui se superposent puis se fondent alors à merveille à la vision oculaire du moment. L'auditeur est alors comme suspendu au fil du son...

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F
Le sujet "Famille Duraton" posté sur la page facebook "les 30 glorieuses" a suscité de nombreuses réactions. Pas moins de 142 commentaires où chaque membre du groupe y évoquait ses souvenirs d'enfance et de jeunesse. comme <br /> <br /> ce post d’Arlette :<br /> <br /> "Comme c'est loin !....<br /> mais à la maison nous écoutions le midi et soir sur Radio Luxembourg<br /> J'étais petite et la famille Duraton et les<br /> Autres,<br /> je ne les ai jamais oubliés"<br /> <br /> Ou celui de Jean-Claude :<br /> <br /> "C'était un vrai "regroupement familial" ...<br /> On était pas chacun de son côté à regarder des séries avec un casque sur les oreilles!<br /> C est ce qui manque aujourd'hui, des petits événements qui rassemblent...<br /> Et bien sur grâce au savon "PALMOLIVE à l huile d olive " 😄" :<br /> <br /> Et celui de Brigitte :<br /> <br /> "Mon père écoutait les feuilletons et c'était notre imagination qui faisait le reste".<br /> <br /> Les réseaux sociaux semblent bien plus favoriser les échanges ; bien sûr, il y a des sujets en rapport avec la vie d'autrefois qui touchent plus ou moins la fibre des souvenirs de chacun... et celui-ci a une forte connotation "esprit et vie de famille".
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M
J'ai la même radio (poste du milieu bande du haut) qui appartenait à mes beaux parents, naturellement elle ne marche plus, mais, que de souvenirs...
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M
Avec ma sœur nous écoutions le mystère de la chambre jaune, nous étions mortes de peur, l'imagination marchait à pleine vapeur ! Très jeunes, en écoutant la radio, nous formions bien des pensées et des images venant de notre être, ce qui nous aidait à réfléchir ... Adultes c'était "Salut les copains" mais déjà une autre époque.. Bisous aux Farfadets.
F
Bonjour Marie-Rose.<br /> <br /> Mes parents avaient un vieux poste dans le style du premier présenté en haut le plus à gauche. C'étaient des postes à lampes ça grésillait parfois mais avec le journal (l'Aurore) ils constituaient une bonne source d'information et de distraction avec les émissions de variétés, les retransmissions de concerts et les match de foot ou de rugby commentés. Toute une époque, il suffisait d'écouter pour savoir sans voir et surtout rêver...<br /> <br /> Bisous des Farfadets du Poitou.
M
Je n'ai souvenir d'aucune émission de radio suivie par mes parents...Ils le faisaient le soir quand nous étions couchés, ma mère n'écoutait jamais la radio dans la journée et ne l'a jamais fait avec nous autour mais peut-être le faisait elle quand nous étions à l'école, elle était soit à la maison soit dans le jardin et écoutait plutôt les oiseaux. Mais je me souviens que mon grand frère écoutait "Salut les copains" et parfois nous tolérait les petites soeurs dans sa chambre ! D'ailleurs je n'ai jamais eu de poste de radio personnel jusqu'à ce que je sois adulte, et la TV est entrée très tard chez nous. On lisait le journal chez nous et même plusieurs journaux de différentes tendances, mon père se faisait sa propre opinion ainsi...J'ai été très étonnée quand j'ai fait connaissance avec mes beaux-parents d'entendre la radio allumée toute la journée sans discontinuer...et ce dès le réveil. Belle journée
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F
Bonjour Manou.<br /> <br /> Chaque famille a ses habitudes et philosophie de vie avec ses méthode d'éducation variant entre stricte et libertaire et donc l'accès aux "objets" influents était accessible et réglementé par cette autorité familiale qui pouvait s'exercer avec plus ou moins de rigueur selon les choix de ces familles.<br /> <br /> Avec mes parents, nous écoutions la radio essentiellement le soir. (Nous avons eu la télé en 1959) Le dimanche, en fin de matinée, "le Grenier de Montmartre" avec les saillies des chansonniers amusait beaucoup mes parents.<br /> <br /> J'ai eu mon premier poste à transistors pour mes 18 ans et, bien sûr, je ne manquais pas l'émission "Salut les copains" ... écoutant donc ces "musiques de sauvages" ainsi qualifiées par mes parents... et aujourd'hui de m'imaginer ce qu'ils diraient de la musique des rappeurs ... lol .A chaque époque ses modes, ses extravagances ; il n'est qu'à évoquer les années folles des années 20, les zazous juste avant guerre, pour, après, arriver aux yéyés de notre génération.<br /> Amitiés.
C
Mes jeunes années....la famille Duraton !!!,salut les copains !😊
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F
Bonjour Christiane.<br /> <br /> Époque des "30 glorieuses", au début de laquelle se situe notre enfance puis note jeunesse. Incontestablement nous avons eu ce bonheur de vivre une jeunesse sans avoir à répondre à des soucis majeurs, les 3 décennies d'après-guerre ont contribué à rendre la vie plus facile grâce aux incessants progrès techniques et aux moyens de communications toujours plus performants et sophistiqués. Rock'n'roll, twist, jerk et madison, la musique nous entraîne dans ces pas de danses aux rythmiques endiablées, la vie est mouvement, agitations, et emballements. <br /> <br /> Il est loin le temps de cette chanson du gentil et charmant Adamo :"Vous permettez Monsieur que j'emprunte votre fille " ... on portait encore le costume cravate pour aller au bal dans ces années là ; on avait pas encore le blues du jean ... lol...<br /> <br /> Amitiés de la famille Farfadet du Poitou.
F
On voit que tu as beaucoup regardé la radio, ce qui te permet de nous enrichir par la même occasion en citant ces nombreuses émissions qui ont fait le régal de beaucoup. En ce qui me concerne, je ne regardais que la famille Duraton et avait une sympathie particulière pour Ded Rysel, le père Duraton, qui avait une autre émission , durant la guerre où il affirmait sa confiance en une période meilleure. Je lui avait écrit et il mavait répondu. J'avais une dizaine d'années. Lorsqu'il est décédé, peu avant sa mort, annoncée par la radio, quelques heures, à peine avant, comme par hasard, j'avais pensé à lui
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F
Bonjour Francis.<br /> <br /> J'ai non seulement regardé la radio mais l'ai aussi écoutée assidûment quand, en 1962-63, bidasse à Angoulême, au quartier Bossu, après le temps de services vers 18H , nous regagnions notre chambrée juste à temps pour écouter SLC (Salut les copains).... Sheila, Françoise Hardi, Claude François, Richard Anthony, Frank Alamo, Claude Nougaro, les Surfs, etc.y faisaient leurs débuts dans la foulée de Johnny. Moi, j'aimais bien Pétula Clark et son "Charriot", Alain Barrière le Breton romantique... sacrée jeunesse !<br /> La Radio était surtout synonyme de musiques et chansons pour notre génération.<br /> <br /> C'est émouvant ce que tu nous racontes à propos de Ded Rysel qui, comme tu le soulignes, pendant la guerre gardait espoir de jours meilleurs. Ce qui finalement s'est produit dans les décennies suivantes.<br /> Je constate également que tu as toujours aimé l'écriture et ce formidable lien qu'elle crée au niveau épistolaire.<br /> <br /> Amitiés.

Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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