Évidemment...

Ce titre de la chanson de La Zarra au concours de L'Eurovision de la chanson a valu à la France de prendre la 16^e place sur les 26 concurrents finalistes en lice ; mais ceci n'est, pour l'instant, nullement mon propos...

ÉVIDEMMENT : la COVID 19 court toujours... Voilà ( un autre titre ça aussi ... Voilà !) ce que je voulais mentionner, étant passé au travers de cette crise épidémique au cours de ces trois dernières années, ce Samedi 6 mai, jour de l'anniversaire d'Annie, mon épouse, ce méchant virus, en dépit des rappels de vaccination, nous a rattrapé et assommé de copieuse façon... Eh oui, on l'avait oubliée celle-là ! Nous venons de passer, grâce à elle, cette affreuse bestiole microbienne, provenue de  quelque souche suspecte sur base de pangolins martyres, une semaine particulièrement pénible sur le plan santé et moral. Certes nous n'avons pas eu à subir les effets gravissimes de cette facétieuse COVID 19 mais tous les symptômes d’affaiblissement extrême, de perte de goût, de fièvre, d’amertume en bouche, de tousseries à répétitions, et de rôts incalculables, jamais libérateurs.

Eh du coup, étant contagieux, nous étions tenus à limiter nos déplacements avec, retour des masques et, autres protocoles de gestes barrières et, pour les soins matinaux, au lever d'Annie, le SSIAD l'a mise en dernière positon si bien qu'elle n'est levée qu'à midi...

Bien sûr, cet affaiblissement brutal de la vitalité a eu pour conséquence immédiate de perturber sa capacité à se tenir debout et se déplacer, rendant tous les transferts impossibles. Il a fallu recourir en permanence au lève-personne et qu'elle garde la nacelle souple dans son fauteuil roulant.

Demain sera notre dernier jour de contraintes sanitaires.

En fait, depuis hier, nous avons récupéré, une bonne part de notre vitalité d'anciens et sommes aptes à reprendre une vie normale.

Ce sont là les récentes nouvelles des Farfadets en pays Mirebalais qui, en réalité, n'ont guère pu accomplir ce tour de France en rimailles fantaisistes de la *Départementaise* de mon article précédent, déclamée à bord de la vieille Mercedes du père du Farfadet.