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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #Les clins d'oeil du Farfadet
Extraite de l'avant-dernière page de la BD *Entre deux gares*, cette bande de 3 images est non dépourvue d'Humour...

Extraite de l'avant-dernière page de la BD *Entre deux gares*, cette bande de 3 images est non dépourvue d'Humour...

Et, dans celle de droite, l'auteur se pose la question de l'opportunité de cette BD ferroviaire...

Eh bien moi, je valide son initiative qui lui a fait produire cette BD de qualité et dont le contenu historique met en exergue la vie d'un petit village du haut Poitou et celle de son enfance s'articulant autour d'une  maisonnette de garde-barrière, poste tenu par sa mère.

Que de curiosité cette bande dessinée a suscité chez moi me poussant à chercher tout ce qui concernait cette voie ferrée, la vie des cheminots et de toutes les personnes travaillant au bord de cette ligne dont j'ai aussi retrouvé le reportage vidéo que vous trouverez à la fin de cet article.

Bien sûr je ne suis pas resté insensible à ce témoignage sur des personnes simples s'étant attachées à leur fonction et la vie sociale de leur village, à une époque nous ramenant un peu plus de 40 ans en arrière.

Ainsi ai-je retrouvé trois interviews de l'auteur Sébastien Samson parus dans dans La Nouvelle République au cours de l'année 2023-24.

Nous en apprenons ainsi beaucoup sur les origines de cette BD *Entre deux gares*, sur les motivations de l'auteur et sur la vie de sa mère dernière garde-barrière sur cette ligne de chemin de fer, aujourd'hui désaffectée.

Sébastien Samson illustre en BD ses souvenirs d’enfance du passage à niveau gardé par sa mère Marylène. *Photo NR*

Sébastien Samson illustre en BD ses souvenirs d’enfance du passage à niveau gardé par sa mère Marylène. *Photo NR*

Article de la NR publié le 17/03/2023.

Loudun : les souvenirs du rail illustrés en BD

Sébastien Samson a passé une partie de son enfance sur les rails quand sa mère Marylène était gardienne du passage à niveau 185 à Arçay. Devenu auteur et illustrateur de BD, il met en scène ses souvenirs et ses recherches historiques dans un album.

Les premières illustrations de la voie ferrée de son enfance, Sébastien Samson les dessine dans sa BD *Le marathon de New York à la petite semelle*, réalisée en 2016. Ce sont ses premières de l’endroit d’où il vient et de son enfance près de la barrière d’un passage à niveau sur la ligne Chinon-Saint-Jean-de-Sauves - Thouars. « J’avais oublié, comme occulté, cet épisode de ma vie, confie-t-il. Il y avait quelque chose à creuser, j’ai demandé à ma mère de raconter ses souvenirs. »

Il a fallu six années de gestation et de travail. C’est aussi le temps pendant lequel sa mère a occupé les fonctions de gardienne du passage à niveau (PN) 185 à Arçay, de 1978 à 1984.
Souvenirs mais aussi enquête historique

Cet ouvrage, qui sortira aux éditions tourangelles La Boîte à Bulles en octobre 2023, raconte ses souvenirs et les confronte avec l’histoire du village. Pour le réaliser, Sébastien Samson a mené une véritable enquête historique. Registres paroissiaux du 17e siècle, cartes postales anciennes de la gare qu’il reproduit au dessin dans sa BD, photographies de son adolescence et ses propres dessins d’Arçay, chansons de l’époque, recherches sur les actions de René Monory…, il replace ses souvenirs dans leur contexte.

En 2023, le PN 185, désaffecté, fête sans grande pompe ses 150 ans et Sébastien fête ses 50 ans. Lié au PN 185, il tient à rester fidèle à son enfance et à transmettre de façon très documentée une forme de mémoire et un hommage à cet épisode de la vie de ses parents. Sébastien se souvient bien de la sonnerie, celle qui annonce le passage d’un train avant que la barrière ne s’abaisse. Il se souvient aussi du grondement de ces trains de marchandises qui venaient des coopératives de céréales, les wagons que l’on pouvait compter, leur odeur de blé.

À l’époque, un seul train passait dans la journée. Une fois qu’il était passé, « c’était alors notre terrain de jeux, j’allais voir mes copains au PN 184 par les rails ».

Par l’aboutissement de ce projet, l’auteur de BD se déleste d’une obsession. C’est aussi un travail de mémoire.

À Arçay, le trafic du fret a pris fin. Il est dorénavant dans les souvenirs.  

Sébastien Samson illustre en BD ses souvenirs d’enfance du passage à niveau gardé par sa mère Marylène. *Photo NR*

Sébastien Samson illustre en BD ses souvenirs d’enfance du passage à niveau gardé par sa mère Marylène. *Photo NR*

Article de la NR publié le 25/03/2023

Près de Loudun, elle était la dernière garde-barrière à Arçay

De 1978 à 1984, Marylène Samson gardait la barrière du passage à niveau n° 185 à Arçay, avant son automatisation par la SNCF.

Elle est la dernière garde-barrière du passage à niveau (PN 185) à Arçay, près de Loudun. Marylène Samson se souvient de ses anciennes fonctions avec le sourire.

Une expérience qu’elle a vécue en famille et qu’elle partage avec force anecdotes.

Ces souvenirs apparaissent dans une BD dont son fils Sébastien est l’auteur et l’illustrateur, à paraître en octobre 2023 aux éditions tourangelles La Boîte à bulles.

Des tours de manivelle pour abaisser la barrière

En 1977, quand une voisine à Loudun prend le poste de garde-barrière du PN 184, le PN 185 se libère. Il se situe sur la ligne Chinon-Saint-Jean-de-Sauves-Thouars.

Marylène postule en envoyant un courrier à Châtellerault. Elle devient sans difficulté « gérante contractuelle de passage à niveau ».

Elle prend son poste à Arçay début 1978 et habite dans le logement du PN 185 avec sa famille après avoir quitté les immeubles HLM de Loudun.

Elle découvre les trains de marchandises, lourds et massifs. « Un train passait trois fois par semaine, on pouvait compter jusqu’à 23 wagons. Il passait à 12 h à l’aller et à 14 h au retour. Je devais aussi m’occuper d’un autre treuil, celui qui permet de fermer le PN 186 plus loin dans les bois », explique-t-elle.

Après un tour de manivelle, la sonnerie retentissait pour les voitures, une lumière s’allumait, un autre tour, puis les barrières avec les tabliers rouge et blanc s’abaissaient.

Un registre des trafics

En 1981, le travail change. « J’ai signé un nouveau contrat. Les trains ne passaient plus à heure fixe, et seulement une à deux fois par semaine. Si un train était annoncé, il fallait rester toute la journée, j’étais d’astreinte. Un téléphone me reliait à Loudun, on m’appelait pour me prévenir. »  

Garante de la sécurité au passage des trains, Marylène tenait un registre du trafic et des incidents à relater. Il fallait connaître les mesures de sécurité, les drapeaux à agiter, les pétards en quinconce à poser sur les voies, la torche à dégoupiller.

Pour les visites médicales à Tours, Marylène devait prendre le train, ce qu’elle… détestait !

Licenciée en 1984

La barrière devient automatique en 1984, Marylène est licenciée, avec deux ans de chômage.

Elle n’a gardé que sa chaise, avant que la guérite ne soit entièrement démontée. C’était il y a quarante ans.

Son histoire, son fils Sébastien a voulu la connaître. Dans une BD, il met en scène ses souvenirs de cette époque où sa maman était garde-barrière de passage à niveau.
« L’entre-deux gares », BD à paraître en octobre 2023. Auteur et illustrateur : Sébastien Samson. Éditions La boîte à bulles.

« Entre deux gares », la BD de Sébastien Samson entre les mains de tous dès le 3 janvier 2024. *Photo NR* // Dédicace de l'auteur à Poitiers le 10.02.2024 //  Clou souvenir année 37....« Entre deux gares », la BD de Sébastien Samson entre les mains de tous dès le 3 janvier 2024. *Photo NR* // Dédicace de l'auteur à Poitiers le 10.02.2024 //  Clou souvenir année 37....« Entre deux gares », la BD de Sébastien Samson entre les mains de tous dès le 3 janvier 2024. *Photo NR* // Dédicace de l'auteur à Poitiers le 10.02.2024 //  Clou souvenir année 37....

« Entre deux gares », la BD de Sébastien Samson entre les mains de tous dès le 3 janvier 2024. *Photo NR* // Dédicace de l'auteur à Poitiers le 10.02.2024 // Clou souvenir année 37....

Article d la NR publié le 02/01/2024

J’avais une dette envers les rails » : Sébastien Samson raconte Arçay dans une BD

La BD « Entre deux gares » de Sébastien Samson, auteur et illustrateur originaire d’Arçay, paraît ce mercredi 3 janvier 2024. À partir de ses souvenirs d’enfance, il livre sa vision de son passé à Arçay et l’histoire d’une commune et de ses habitants.

Dans sa nouvelle bande dessinée autobiographique qui paraît mercredi 3 janvier 2024 aux éditions tourangelles La boîte à bulles, Sébastien Samson se met en scène et raconte ses souvenirs d’enfance, passée près du passage à niveau PN185 d’Arçay. Sa mère, Marylène Samson, en était la dernière garde-barrière jusqu’en 1984.

Ce nouveau projet d’édition aboutit après six ans de gestation et de travail, de la mise en mots jusqu’à la mise en dessin, dont trois années dévolues à l’illustration des seules planches.
« Je n’ai travaillé que sur du souvenir »

Dans un récit truffé de jeux de mots et non dénué de traits d’humour, le lecteur est invité à parcourir un puzzle qui mêle les voix de l’adulte et de l’enfant qu’il était. Ses parents, mis en scène à travers ses dessins, lui ont fait confiance et ont répondu à ses questions pour compléter ses souvenirs et ajouter leurs voix. Depuis le début du projet, Sébastien Samson a le soutien de son éditeur, qui n’est intervenu que pour le réalisme des dessins de trains.

La mise en scène choisie révèle les allers-retours de l’auteur dans sa mémoire. Il tâtonne dans sa quête, marquée d’une légère nostalgie, et montre ses découvertes. « J’ai bâti ce livre à trois voix, sans personne d’autre, je n’ai travaillé que sur du souvenir », explique-t-il sur sa démarche.
« C’est la vie qu’on avait » à Arçay

La BD est aussi un récit sur l’histoire d’Arçay, que peu connaissent. « Aujourd’hui, ce livre me semble rendre le village plus vivant et plus actuel. » Il dessine avec précision ses trouvailles jusque dans la reproduction des cartes postales. « J’avais une dette envers les rails. J’ai les cartes postales originales, je les ai donc dessinées. »

Témoins d’une partie de cette enfance, Christophe et Romain apparaissent aussi dans la BD de leur frère aîné. « Il nous emmène avec lui dans son univers, dans sa façon de penser. On apprend comment Sébastien en est arrivé là. Il rend notamment hommage à son instituteur M. Wagon », commente Romain, le plus jeune. « J’ai découvert des choses personnelles sur Sébastien, des choses que j’étais trop petit pour connaître. Sur Arçay, je n’ai rien appris : la BD montre bien le village. C’est la réalité. C’est la vie qu’on avait il y a une quarantaine d’années. Et, pour moi, c’était normal le chemin de fer », ajoute Christophe.

Sur les rails, Sébastien Samson et sa BD Entre deux gares feront halte au festival de la BD d’Angoulême fin janvier. Il la dédicacera ensuite à la bibliothèque d’Arçay le 24 février 2024.  
* Entre deux gares *, scénario et dessin de Sébastien Samson, aux éditions La boîte à bulles. Parution le 3 janvier 2024.

La fiction pour transcender la réalité c'est magnifier les choses simples de la vie, celles qui ont pétri, jusqu’au fond du cœur, les souvenirs heureux de l'enfance

Un reportage sur l'histoire d'hier à aujourd'hui de cette ligne qui passait à Arçay dans le Nord de la Vienne point de ramification à d'autres lignes.

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É
Vive la BD ! Vive le salon international de la BD à Angoulême ! Vive les dernières BD que j'ai achetées et adorées ! Vive le vocabulaire des bons mots de la langue française !<br /> Un article qui devrait te plaire :<br /> http://poussin17.over-blog.com/2024/02/le-mot-elegant-femmage.html<br /> J'ai découvert ce matin ce nouveau mot "FEMMAGE" -très élégant- bien représentatif de la France qui va mal et se trompe d'adversaire en voulant opposer les femmes et les hommes !
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F
En fait, chaque image d'une BD, conte et exprime jusque dans le détail ce qui tient au contexte, à l'ambiance, voire, à la tension dramatique d'une scène dessinée, se substituant au narratif. <br /> C'est au lecteur de décrypter chaque image, et d'en suivre l'évolution sur chaque planche. La lecture tient autant au graphisme qu'à l'écriture. Et là, on a bien sûr une palette de styles très variés. <br /> C'est à partir de cela que la BD a été qualifiée de 9ème art. Il faut autant de talent et de méticulosité au scénariste qu'au dessinateur.... Le festival d'Angoulême l'a indéniablement élevée au rang d'art à la fois classique et populaire. <br /> Et si la BD prenait manifestement place dans l’enseignement de la lecture non seulement pour apprendre à lire (l'image y prend aussi une certaine place) mais aussi pour prendre goût à la lecture en même temps qu'au dessin !...
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D
beaucoup de mots pour paradoxalement une bande dessinée : tu enrichis tes publications
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F
Bonjour Dominique.<br /> Le farfadet piètre dessinateur a choisi le vocable pour narrer, conter et exprimer ses ressentis à travers tous les sujets traités sur son blog. <br /> Quelques de ses aventures ou "nouvelles" pourraient très bien servir de scénario aux "BéDéistes" et donc quelques de ses mots entrer dans des bulles... <br /> Bon, tu sais combien le farfadet farceur aime se faire mousser ... en ce moment j'effectue une super plongée dans un bain de bulles et c'est bien à dessins que je m'y plonge... mais, de là, coincer les bulles... lol <br /> Amitiés
R
Patrice Lucquiaud sinon, je suis mirebalais d'origine, et je travaillais comme saisonnier à la coopérative de Sain-Jean-de-Sauves durant l'été essentiellement au fret ferroviaire. Sebastien Samson fut un de mes camardes de fac, d'abord à Poitiers puis à Bordeaux et nous sommes devenus profs d'arts plastiques à la même époque. Que de souvenirs avons nous partagés ! C'est une grande fierté d'avoir dessiné avec lui si souvent, il réalise son objectif, tout le monde savait qu'il deviendrait bédéiste ! Merci pour votre blog, je le consulterai plus souvent, car, comme les ânes, il en passe plus qu'il n'en reste !
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F
Rambaud David Bonjour, et merci pour ces informations à propos de votre formation commune et coopération graphique avec Sébastien Samson, consolidées par l'amitié. <br /> Perso, lycéen, je souhaitais devenir styliste en matière de design automobile étant, depuis la petite enfance passionné d'automobiles ce que vous pouvez constater parmi les thématiques listées dans "Catégories" du blog. <br /> https://www.mirebalais.net/article-etoile-des-n-ai-je...
S
Patrice Lucquiaud un énorme merci, pour ce travail de compilation ! C'est très complet, et me fait poser un autre regard, intéressant, sur mon propre travail. Je me suis amusé en lisant votre interprétation, plausible, du nom de mon ancien instituteur! La réalité est plus prosaïque... Wagon était tout simplement son nom, réellement ! Au plaisir de vous rencontrer un jour, ou bien votre fille. Je dédicace également à Arçay, fin février, pour l'ouverture de la médiathèque.
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F
Sebastien Samson Bonjour.<br /> Merci pour votre réponse à mon post. Oui, j'étais intrigué par le dessin de maître d'école, je trouve qu'il ressemble à Jacques Brel et sur l'image de classe il se tient en haut de page devant un micro. Mais Ce M. Wagon fut un bon instituteur pour éveiller les jeunes consciences. <br /> Autre chose, dans votre album, vos parents circulent en mobylette orange, à peu près à la même époque je circulais moi aussi en mobylette bleue, allant au Lycée de Loudun depuis Mirebeau. https://www.mirebalais.net/article-12968748.html
M
Un article qui complète à merveille ton ressenti sur cette BD. J'aime bien connaitre l'histoire qui se cache souvent derrière un auteur, sa passion, la genèse du livre. Voilà que tu réponds à toutes les questions qu'on pouvait se poser...Ta fille a bien fait de t'offrir ce cadeau :) mais ça je te l'ai déjà dit !! Bien entendu je ne connais pas l'histoire du Poitou mais cette histoire se transpose aisément dans nos régions où la plupart des petites lignes ne fonctionnent plus, sont devenus des voies vertes, les gares des restaurants ou des maisons d'habitation et maintenant que cette transformation a eu lieu on nous culpabilise parce que en campagne nous ne prenons pas de transport en commun ! Merci pour ces extraits de presse et reportages divers. Amitiés à tous les deux et une très belle journée
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F
Bonjour Manou.<br /> Le progrès, l'évolution ont ainsi des soubresauts surprenants, cela provient sans doute de la marche en avant qui va bon train - si je puis dire - Tout va très vite mais aussi le nombre d'usagers, et consommateurs s’accroît sans cesse et quand ça sature, les premières solutions envisagées font lorgner vers les méthodes et les moyens du passé.<br /> Relancer les petites lignes de trains en campagne, de ce fait il faut réaménager les voies qu'on a laissé à l'abandon ou transformé en chemins de promenade. S'inspirant de ce qui se fait de plus en plus en ville, il serait judicieux de créer des voies de tramway mais là, en campagne, ce serait utile je pense. Vive les transports en commun !<br /> Amitiés
F
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt tout ce qui concerne la vie du rail et de la garde-barrière qu'était la maman du constructeur de BD, son fils et eu autant de plaisir à découvrir la personnalité de Régine Desforges. On en apprend des choses grâce à toi, Patrice. Merci
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F
Bonjour Francis,<br /> Merci pour ton appréciation. Oui, j'aime lire et me documenter et donc je lis aussi des BD même si j'ai passé l'âge de 77 ans, seuil qu'indiquait le journal de Tintin un de mes premiers héros de bandes dessinées avec Les pieds nickelés, Spirou, Bibi Fricotin puis Asterix...<br /> Bon, à côté de cela, je lis des romans privilégiant les récits de terroirs, de la grande Histoire ou bio et autobiographies. Parfois aussi quelques polars.<br /> <br /> Dresser un pont entre présent et passé c'est aussi une façon réaliste d'envisager l'avenir... Tout se tient, une chose, un événement, comme les êtres vivant découlent les uns des autres, c'est la grande et implacable loi de cause à effet .<br /> Le temps nous aspire ... et nous inspire aussi, la preuve avec cette BD entre deux gares... ...<br /> Amitiés.

Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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