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Le Mirebalais Indépendant

La Vie d'ici et d'ailleurs - Patrimoine : d'hier à aujourd'hui, un monde riche de son passé, a forcément un Avenir ...

Publié le par FARFADET 86
Publié dans : #Les clins d'oeil du Farfadet
En dernière page de la NR du 29-5-2°23

En dernière page de la NR du 29-5-2°23

Eh bien voilà on en a assez de ces jérémiades et critiques à l'emporte pièce sur les nuisances du web où, via les réseaux sociaux, des usagers de tous polis dispensent des flots de fausses nouvelles, des critiques à l'emporte pièce à propos de tout et de rien, parfois leurs haines incontrôlées appuyées de menaces inquiétantes, mais aussi des stupidités ahurissantes, des grossièretés éhontées formulées en termes peu académiques, faisant fi de l'orthographe en égratignant au passage notre belle langue française. De quoi grincer et se désoler à propos de cet extraordinaire outil de communication qui a profondément modifié nos modes relationnels avec toutes les personnes que nous faisons rentrer, de près ou de loin, dans notre environnement à coups de clics le plus souvent hasardeux.

C'était sans compter sur les anciens, ces seniors actifs et téméraires qui, eux aussi, se sont mis à l'informatique et qui, en dépit de certains préjugés, se débrouillent très bien avec leurs PC, tablettes et autres smartphones. J'en atteste par cet article ci-dessus, paru en dernière page de la Nouvelle République de ce mardi 29 mai.

"Ils se dérident..." peut-on lire... mais nous, vous, ils dérident également, un bienfait qu'ils soient là... les exemples ne manquent pas !...  à commencer  avec cette page facebook, ci-après, rassemblant 222 membres  positifs, joyeux, poètes et conteurs à leurs heures, des personnes  porteuses de bonne humeur et toujours prêtes à "se fendre la pipe" en écrivant, en lisant et en commentant ...

Un site facebook pour se donner la pêche à chaque rendez-vous ...

Un site facebook pour se donner la pêche à chaque rendez-vous ...

Le cas Francinou.

Et surtout il y a son administrateur et animateur Francis Dreyfus !... Sacré personnage que celui-là, que je connais virtuellement depuis plusieurs années. Pensez, un jeune homme de 88 ans et demi, né la même année que notre BB nationale, en 1934. Jugez de la référence en matière de longévité active ayant grand sens de l’opportunité pour s'exprimer librement. Ce sont  là  des personnes qui n'ont pas leur langue dans leur poche et qui, à ce qu'il me semble, aiment intensément les animaux... et sans doute autant les humains, en dépit de leurs réserves concernant ceux qu'ils jugent toxiques. Si l'une a fait carrière au cinéma... l'autre ne démérite pas, croyez bien, car lui, il fait son cinéma ...

Francis, c'est un joyeux drille et sa plume est aussi enjouée que sa verve, pourvoyeuses d'histoires extraordinaires qui transcendent la réalité en bouffonnerie à vous faire pisser dans votre froc, une bouffonnerie débordante de jeux de mots, de traits d'humour et de descriptions  désopilantes où le héros c'est lui et sa compagne qu'il nomme Tototinette.

En matière de comique il y a chez lui un savant mélange de Robert Lamoureux, de Fernand Raynaud et de Raymond Devos. Ses productions écrites vous conduisent dans des situations inextricables, entre grosse pagaïe dans la strass et délires incommensurables où, malgré l'amoncellement de catastrophes en série, suffisamment foireuses, il n'y a, au bout du compte et du conte, rien de grave. Rire est, à la fois, le seul parti et la seule issue à prendre. Un véritable remède contre la morosité. Chaque jour, Francis publie une nouvelle de 50 à 100 lignes. Quel bonheur ! quelle liesse ! quelle imagination ! quelle drôlerie ! Quel bout-en-train ! et ça à bientôt 90 ans ! tu parles d'une Sacrée vitalité ...

Ce monsieur bien sous tous rapports et même sexuel, ne manquera-t-il pas de vous préciser en tout bien tout honneur, joue régulièrement au tarot, joueur impénitent toujours drôle même quand il perd. Il ne craint pas de faire des kilomètres avec sa Ford K et se déplace régulièrement, entreprenant parfois de longs parcours. Il écrit aussi des livres et publie des essais, suite de réflexions à méditer qui correspondent à des aspirations  sociales bien plus vertueuses, mais aussi à une élévation d'âme en quête de spiritualité.

En fait, il nous montre par là qu'il n'y a pas de frontière entre la joie de vivre, de profiter, rire aux éclats et la méditation qui s'adresse aux causes nobles élevées quasi religieuses.

Cessons donc de mettre des barrières dans ce qui de nos vies semblent totalement différents et opposés et ne sont en réalité que moments, chacun précédé et suivi d'autres moments...  Tout se vit au présent !...

Francis me parait être véritable Rabelaisien des temps modernes

Fais ce que veux ... la Vie, autant que le Ciel, y pourvoit !...

PUBLICATION de Francis en date du 28 Mai 2023
 
Je suis donc en Thaïlande, jouant les amnésiques et je m’attends à voir d’un instant à l’autre surgir le Samong, le Samu asiatique. L’attente est de courte durée. Pin Pon Pin Pon. Je ne vois pas de pin à l’horizon et pas de pont, mais l’ambulance fait Pinpon quand même.
J’ai le regard hébété de celui qui débarque de la lune et n’a encore jamais vu de terrien. Tototinette qui ne sait pas que je joue n’arrête pas de jeter des cris d’hystérie et contamine son entourage, parce que au moins 1 des sumos est gagné par sa panique et lui aussi crie dans sa langue des propos que je ne comprends pas.
L’ambulancier qui est en même temps pompier semble un peu dépassé par les événements. Il pensait devoir emmener un presque mort ( moi) mais pas en plus sa moitié qui semble complètement gaga et un sumo encore plus que gaga, mais gagaga.
Lui, c’est le chef, mais il est assisté par 3 camarades qui sont là pour l’assister. Le chef montre du doigt à ses acolytes un produit qui me semble être de l’opium. Sans trop de ménagement, les infirmiers s’emparent du bras de Tototinette et avec une seringue, lui injectent un liquide qui devrait en principe la calmer, mais en ce qui concerne le sumo, l’opération semble bien plus compliquée. Il n’a pas du tout envie de se laisser faire et c’est lui qui injecte à tout le monde le produit en question : opiumang.
Le voilà maintenant, comme par enchantement calmé. Avec son copain, le capétien Hiro Hito qui n’a pas beaucoup bougé depuis pas mal de temps, ils font monter dans l’ambulance tout le monde, ceux qui sont dans les vapes parce qu’ils ont été drogués et celui qui faisait semblant d’être dans les vapes : moi.
Les deux compères qui sont loin d’être légers comme des plumes emmène tout leur monde à l’hôpital de la ville. Un personnel qui semble compétent et rapide, s’occupe de nous et nous sommes conduits dans des chambres différentes. Ils ont raison de se méfier, des fois que si la drogue ne fait plus son effet, on ne sait jamais qui fera quoi
Je ne sais pas pour le moment ce qui se passe dans les chambres à côté, mais voilà un gars qui semble être le professeur, très distingué, et qui, en plus parle le français, s’adresse à moi d’une façon cérémoniale
« Bonjour cher monsieur, dites-moi qu’est ce qui vous arrive. Enchanté de faire votre connaissance. Je suis le professeur Mao Tsé Toung »
Il me faut un instant de réflexion pour savoir ce que je dois dire ou faire. Dois-je lui confirmer que je suis un français ou dois-je me faire passer pour un extra-terrestre ? J’opte pour parler le marsianien français
« Enchanté, gougousiou, moi moumou, aussi aussoussou. Je joujou m’appelle mapouloulouFrancis Fransousou mais maimoumou pour Pourourou mes memoumou amis AmiomiouFrancinou Franfroufroucisousounounounou
Quel charabia ! J’ai envie de rire, mais ce ne serait pas astucieux, alors je me pince fortement je me tape pour calmer mes pulsions qui n’ont rien de sexuelles mais zigomaticales
Le Professeur : Je vois à peu près le trouble dont vous êtes atteint. Il me semble que vous êtes un martien français, désorienté de venir sur la terre. Ce n’est pas grave. Je me charge de vous et dans très peu de jours, vous serez remis sur les pieds et votre tête fonctionnera bien mieux qu’avant.

Rire, sourire mais pas que...

PUBLICATION de Francis du 18 Décembre 2021 - 6 jours avant Noël

Avant-hier, je m’étais lancé dans une dissertation sur l’égo, le « je » le « nous » l’invisible qui mérite un approfondissement.

Je pense à tout un tas de possibilités qui dépassent l’entendement généralisé.

Je crois que toutes nos pensées, nos émotions, nos ressentis nos sentiments, nos conviction, nos actions, tout ce que nous croyons faire partie de notre personnalité tout ce que nous pensons émaner de nous est un leurre. Je crois que tout  ce monde d’entités impalpables, qui sont comme l’air que l’on ne peut pas voir ou l’électricité qui circule, sont des personnages libres,  que nous nous accaparons, que nous séquestrons en disant qu’elles sont » nous. » Tout ce monde là constitue finalement un ego qui n’est qu’un usurpateur, quelqu’un qui a séquestré ce qui lui était étranger, pour se fabriquer une existence qui n’est qu’apparence trompeuse.

Mais n’accusons pas cet ego. Ne détestons pas celui qu’on appelle aussi le « petit moi »

Il nous est utile pour vivre dans le relatif, pour faire nos expériences et il est tout aussi utile, qu’à l’opposé le « grand moi » qui est sagesse, amour, béatitude, perfection, connaissance et lumière.

Mais la méconnaissance de certaines lois nous plonge dans un tel embarras, que parfois, dans le pire des cas de souffrances, certains se donnent la mort, faute d’avoir compris ce qui est à priori incompréhensible.

A la confusion et au chaos du monde égotique, se complète sans réellement s’opposer un monde lumineux, imperceptible encore, enfermé dans le même réceptacle qu’est la terre et l’homme. Pour beaucoup, l’évocation de la spiritualité, de la religiosité, n’est autre que des spéculations faîtes pour endormir le monde. Parler de Dieu ou de tout ce qui peut se rattacher à cette pensée est irritant, et ne semble qu’un conte pour enfants attardés. Je n’ai pas envie de parler de Dieu, parce que c’est un sujet à polémiques et que cela risque de provoquer un rejet et un arrêt de la lecture de mon exposé.

Mais remplaçons, le mot Dieu par Nature, Énergie , Vie et remplaçons même le mot spiritualité par un autre vocable, comme par exemple « irrationnel »

Je souhaiterais que tous ceux, scientifiques, athées, convaincus que leurs visions des choses sont la vérité, je souhaiterais que tous ceux qui sont fermés à ce que je vais dire, acceptent, ne serait-ce qu’un instant, au nom de la tolérance, d’envisager ne serait-ce qu’un instant qu’il puisse y avoir une autre vérité que celle dans laquelle ils croient. On ne peut avancer dans la vie qu’à la seule condition d’être ouvert à tout, même à ce qui semble absurde. Je veux bien à mon tour admettre que je puisse avoir tort et essayer de comprendre des théories qui s’opposent à la mienne. De la discussion peut jaillir la lumière et l’union fait la force. Si majorité et opposition, loin de s’opposer acceptaient de faire un tour d’horizon ensemble pour examiner, sans parti pris les opinions contraires, il n’y aurait plus de guerre. Mais hélas l’orgueil humain, l’amour-propre mal placé est la cause des dérives.

Admettons donc qu’il y ait un visible et un invisible et admettons aussi qu’il y ait un ego et un personnage sans nom qui soit l’antithèse du premier. Cela reste bien entendu à prouver, mais dans un premier temps, faisons comme si.

Quelle est donc l’utilité de cet ego qui ressemble bien au démon, par ses mécanismes ? Quelles sont donc les raisons d’un mal de vivre généralisé ? Toute douleur ne peut avoir de raison d’être que si elle permet la guérison, la transformation . Le monde entier est insupporté par ce qui est, par la réalité et aspire à une autre forme de vie  de laquelle le mal serait exclu.

Mais ne nous leurrons pas.  S’il n’y avait pas de mal, nous ne désirerions pas le bien. La maladie appelle la guérison. Mais, même si cela heurte l’entendement, la morale, l’éthique,  mal et bien sont complémentaires et les dissocier ce n’est pas possible. J’ai souvent par ailleurs exposé le fait qu’une feuille sans verso ni recto ni papier ne serait pas une feuille, pas plus qu’une pièce de monnaie, à laquelle il faut le pile, la face et le métal. Dieu en trois personnes ? La triade fait partie de notre vie, dans le relatif.

Bien entendu, la fin cet article du jour est loin d’être une conclusion d’une pensée qui va suivre certainement prochainement les méandres de son parcours.

Avec Kiki le teckel au "cirque de Missé" (79) en mai 1975

Dans sa publication suivante, du 19 décembre 2021, Francis Dreyfus, nous parle d'une bombe d'Amour qui serait  l'antidote par excellence à la bombe atomique. Un écrit plein de positivité tout à fait dans l'esprit de cette période de Paix d'avant Noël. La publiant ultérieurement, cela constituera le sujet d'un futur article car je souscris tout à fait à ce qu'exprime là, en toute clarté, le propos de Francis que je n'ai hélas jamais rencontré de visu sinon en conversation téléphonique.  Nous sommes présents l'un à l'autre par le cœur via les réseaux sociaux ayant pas mal de points en commun comme vous pouvez le constater avec photo ci-contre. Tous deux sommes des porte-chiens car nous aimons les animaux  Tout deux roulons ou avons roulé en petite Ford, Tous deux avons en commun un lieu charentais renommé : Cognac. Tous deux sommes nés une année finissant par 4 , lui en 1934, mézigue en 1944. Et finalement tous deux, aimons bien la vie et les relations humaines où chacun s'engage spontanément à considérer ce qui chez son prochain est lumineux  porteur de bonté, d’authenticité et de bonne volonté. 

Voilà, c'est ainsi avec grande jovialité que les seniors non gâtés par l'âge, mais mûrit par une existence féconde, taquinent la souris de leur ordinateur et sèment, en plus de la bonne parole, de savoureuses historiettes ayant pour principale vertu, celle de faire rire, voire sourire à l'unisson tout à fait dans l'esprit de cet intitulé du groupe : *Tous en phase - cœurs en phase*

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M
Je ne connais pas ton ami et il est en effet le parfait exemple que l'âge n'est que dans la tête. Il suffit de le regarder ou le lire pour voir que ce qui importe c'est de continuer à vivre, à se tenir informé, à bouger pour découvrir le monde ou aller vers les autres, ne pas se replier sans sa coquille...Merci à ceux qui ainsi participe grandement à casser les clichés négatifs sur la "vieillesse". Merci d'en parler ici, ils le méritaient bien ! Amitiés et une très belle journée à tous les deux
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F
Bonjour Manou.<br /> Vieillir peut aussi bonifier, comme le vin avec l'âge.<br /> Ceps noueux n'est pas fragile et s'est chantourné magistralement face aux intempéries en puisant son énergie dans le sol.<br /> Être bien enraciné dans la vie , c'est prendre souche pour trouver les bons nutriments de l'existence mais c'est aussi s'opposer à l’immobilisme en mobilisant son esprit et son attention à tout son environnement.<br /> Aimer la Vie, aimer le monde rire et sourire en répandant la joie , ça n'a pas d'âge , c'est à tous les âges.<br /> Amitiés des Farfadets joyassous du Poitou
C
comme tu le dis, "être" âgé ne signifie pas d'être hors du temps, beaucoup restent "vivants" et le prouvent !<br /> bravo à ton ami sa jeunesse nous épate !<br /> amitié à vous deux
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F
Bonjour Marie-Claude.<br /> C'est cela... ne pas se fier aux apparences où à l'aspect flétrissant du grand âge, tout ne se sclérose pas forcément pour qui tient son être en éveil et se passionne toujours pour ce qu'il découvre du monde jour après jour. <br /> Exister en se sentant utile, et on l'est aussi quand on fait rire et sourire les autres autour de soi. L'humour est bien sûr le meilleur remède contre la morosité et le rire se doit d'être communicatif, un gage de bonne santé et d'envie de vivre .<br /> Oui, Francis Dreyfus est épatant et il y an plein d'autres comme lui qui ne se font pas abattre par le poids des ans. Ils aiment la vie, ils aiment les gens. Bravo à eux !<br /> Amitiés des Farfadets du Poitou.
F
Je viens de te lire, sur ton blog, cher Patrice. Tu me gâtes, au delà de toute expression. Il y en a qui en prennent pour leur grades, là, moi qui ne suis pas gradé, je n'en prends pas mais tu m'encenses à tel point que je n'en crois pas mes yeux. Merci, merci et merci encore de penser de moi ce que tu en penses. Me comparer à Rabelais, Lamoureux, Bedos, rien que cela. J'y suis très sensible. Merci encore
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F
Bonjour Francis et merci pour ta réaction enthousiaste, <br /> Vantant tes talents d'écritures associés à ton humour de bout-en-train, je craignais de ne pas présenter cela dans le bon ton, mais je vois que tu as apprécié mes descriptions à ton sujet.<br /> Peut-être qu'à certains, mon propos et mes comparaisons sembleront dithyrambes. En fait, nous sommes, toi et moi, peu enclin à la retenue lorsque l'on veut amuser la galerie et attirer l’attention sur le contenu de nos fictions du jour. Bien sûr, on sait aussi où doivent se situer les limites de la bienséance pour ne pas porter atteinte à ceux qui nous lisent. Drôle et respectueux à la fois... ça, on gère aussi !...<br /> Ceci dit, je précise au passage, s'agissant de ce que je présente comme points communs à propos de Cognac où tu demeures, je connais bien aussi ces lieux car mon meilleur copain et ami du temps de mon service militaire effectué de 1962 à 1964 à Angoulême, était originaire de Cognac où son père tenait une armurerie. L'ami Jef aujourd'hui octogénaire, habite à Cherves-Richemont non loin de Cognac.<br /> Et, la photo où je porte, comme toi sur la tienne, mon chien teckel Kiki, a été prise par Jef justement, lors d'une visite qu'avec son épouse, ils m'avaient faite, au Printemps 1975 quand, à cette époque, j’habitais Saint-Jouin-de-Marnes (79) , C'était 2 semaines avant que je connaisse Annie qui est devenue ma Femme à la fin de cette année là. Heureuses circonstances de la vie ...<br /> Amitiés des Farfadets du Poitou..

Profil


FARFADET 86
Sexe : Homme
À propos : Retraités à Mirebeau* (Vienne), depuis janvier 2005, avec mon épouse, nous étions accompagnateurs de personnes handicapées mentales, ceci pendant 40 ans, dans un Foyer de Vie, en Haute Normandie.

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