Le farfadet… un peu licencieux en ce moment … et que je te fais un article sur « Aubade » et ses dessous de charme et maintenant, après avoir écrit sur ces écrins de la beauté féminine, voilà qu’il s’intéresse au contenu en nous envoyant ce petit poème, véritable plaidoyer en faveur des femmes rondes mais qui dénonce aussi la maigreur avilissante exigée par les canons de la mode mannequin… et de souligner :
« Nos grands peintres impressionnistes du XIXième et du début XXième, eux, savaient mettre en valeur la grâce féminine qu’exhalent les rondeurs charnues des Belles d’Antan … »